Ils sont membres de l’église évangélique protestante ma’ohi et ils fêtent le 223ème anniversaire de l’arrivée de l’évangile. Les fidèles se sont donnés rendez-vous ce jeudi 5 mars à Hitia’a sur la place Tapurouru.
•
En tout, 13 paroisses du premier arrondissement étaient présentes ce jeudi matin, des paroisses de Pirae à Tautira. Le thème de cette année est "Te Rahu, Te Ta'ata, Te Atua,... Ho'e â ia". Traduisez par : la création, l’homme, le Dieu comme une seule et même entité car l’un ne peut exister sans l’autre.
L’an passé, c’est la paroisse de Mahina qui avait accueilli les fidèles mais cette année c’est la paroisse "Te Torono o te aroha mau" de Hitia’a qui a tout préparé. Plusieurs paroisses se sont succédées les unes après les autres pour cette célébration de l'arrivée de l'évangile en Polynésie française. Certains ont proposé des chants et d’autres des danses. Tous de noir vêtus, les fidèles de la paroisse de Mahina ont préparé une danse avec des enfants, des jeunes adultes et des parents. Ils se sont entraînés tous les dimanches durant l’école du dimanche. Et pendant quatre semaines.
Ils ont démontré dans leur spectacle qu'avant l'apparition de l'homme, la terre était parfaite. Depuis tout a changé, l’homme l’a polluée et saccagée. Leur danse est en quelque sorte un message à la génération future : "arrêtez de lui faire du mal, arrêtez de la polluer et rendez lui sa superbe d’antan, pour le bien de l’humanité". Un message fort et important explique Moana Tuhaaemea, pasteur de la paroisse de Mahina.
L’an passé, c’est la paroisse de Mahina qui avait accueilli les fidèles mais cette année c’est la paroisse "Te Torono o te aroha mau" de Hitia’a qui a tout préparé. Plusieurs paroisses se sont succédées les unes après les autres pour cette célébration de l'arrivée de l'évangile en Polynésie française. Certains ont proposé des chants et d’autres des danses. Tous de noir vêtus, les fidèles de la paroisse de Mahina ont préparé une danse avec des enfants, des jeunes adultes et des parents. Ils se sont entraînés tous les dimanches durant l’école du dimanche. Et pendant quatre semaines.
Ils ont démontré dans leur spectacle qu'avant l'apparition de l'homme, la terre était parfaite. Depuis tout a changé, l’homme l’a polluée et saccagée. Leur danse est en quelque sorte un message à la génération future : "arrêtez de lui faire du mal, arrêtez de la polluer et rendez lui sa superbe d’antan, pour le bien de l’humanité". Un message fort et important explique Moana Tuhaaemea, pasteur de la paroisse de Mahina.