En 2017, les navigateurs se sont davantage équipés en balises de détresse qu'en 2016. Une bonne nouvelle pour le JRCC puisque les navires ainsi équipés sont beaucoup plus facile à localiser.
•
Le nombre de balises vendues sur le territoire est en augmentation. Plus de 600 d'entre elles ont été commercialisées en 2017 contre une poignée l’année précédente.
C’est une bonne nouvelle car avec une balise de détresse à bord d’un bateau, en cas de naufrage, le travail des secours est facilité et des vies sont sauvées.
Clément Jacquemain, directeur du JRCC, le centre de secours aéronautique et maritime, donne ses explications.
Le JRCC est intervenu de nombreuses fois en 2017. En octobre dernier par exemple, quatre personnes, dont deux élèves de l'université et un professeur s'étaient retrouvées en difficulté près de l'aéroport. Ils étaient sortis du lagon par le récif. En février également, neuf personnes dont quatre enfants s'étaient perdus alors qu'elles voulaient relier Maupiti et Bora Bora.
En tout en 2017, le JRCC a effectué 440 opérations de recherche et de sauvetage. C’est 8% de plus qu’en 2016. Sur l’année qui vient donc de s’écouler, 221 personnes ont été secourues, et malheureusement, 11 sont décédées.
C’est une bonne nouvelle car avec une balise de détresse à bord d’un bateau, en cas de naufrage, le travail des secours est facilité et des vies sont sauvées.
Clément Jacquemain, directeur du JRCC, le centre de secours aéronautique et maritime, donne ses explications.
Clément Jacquemain, directeur du JRCC
En tout en 2017, le JRCC a effectué 440 opérations de recherche et de sauvetage. C’est 8% de plus qu’en 2016. Sur l’année qui vient donc de s’écouler, 221 personnes ont été secourues, et malheureusement, 11 sont décédées.