L'étude de la loi pour la biodiversité a démarré lundi soir à l'Assemblée nationale. Ce texte a pour objet de renforcer les politiques nationales de protection et de valorisation de la biodiversité française qui se situe à 80% en outre-mer
Une agence pour la biodiversité, qui regroupera et mutualisera les moyens de plusieurs autres organismes publics tels que l'agence des aires marines protégées, a été créée.
Face à la richesse des écosystèmes polynésiens, les députés Sage et Tuaiva ont notamment défendu plusieurs amendements renforçant la place de l'outremer dans les instances décisionnelles et consultatives nationales ; ainsi que les moyens qui seront dédiés aux territoires.
Appuyée par le gouvernement, une large majorité a validé leurs deux amendements n°465 et n°1558 qui permettront d'une part à cinq représentants issus des différents bassins océaniques d'outremer d'être au cœur des décisions de l'AFB (Agence Française pour la Biodiversité) et, d'autre part, aux communautés d’outre-mer qui le souhaiteraient, de bénéficier d'une délégation locale de l'Agence en partenariat avec l'Etat.
Le débat se poursuit aujourd’hui et demain avec notamment la mise en place du dispositif APA dont la Polynésie s'est déjà dotée en 2010 (Accès et Partage équitable des Avantages tirés des ressources naturelles et des connaissances traditionnelles). Il sera alors question de défendre les compétences de la Polynésie française dans les domaines de la santé et de la propriété intellectuelle afférents.
Source : communiqué des deux députés
Face à la richesse des écosystèmes polynésiens, les députés Sage et Tuaiva ont notamment défendu plusieurs amendements renforçant la place de l'outremer dans les instances décisionnelles et consultatives nationales ; ainsi que les moyens qui seront dédiés aux territoires.
Appuyée par le gouvernement, une large majorité a validé leurs deux amendements n°465 et n°1558 qui permettront d'une part à cinq représentants issus des différents bassins océaniques d'outremer d'être au cœur des décisions de l'AFB (Agence Française pour la Biodiversité) et, d'autre part, aux communautés d’outre-mer qui le souhaiteraient, de bénéficier d'une délégation locale de l'Agence en partenariat avec l'Etat.
Le débat se poursuit aujourd’hui et demain avec notamment la mise en place du dispositif APA dont la Polynésie s'est déjà dotée en 2010 (Accès et Partage équitable des Avantages tirés des ressources naturelles et des connaissances traditionnelles). Il sera alors question de défendre les compétences de la Polynésie française dans les domaines de la santé et de la propriété intellectuelle afférents.
Source : communiqué des deux députés