Les tavana sont de retour au fenua... Ils étaient en Métropole pour participer au 102e congrès des maires, qui s'est déroulé porte de Versailles à Paris. Un congrès qui a "apporté beaucoup de chose", explique Cyril Tetuanui, maire de Tumara’a.
•
Les élus ultramarins avaient ouvert lundi 18 novembre, comme chaque année, le 102e Congrès des maires par un après-midi qui leur était consacré. Les collectivités ultramarines comptent beaucoup de problématiques communes avec celles de Métropole : emploi, logement, environnement, infrastructures, coût de la vie... La journée dédiée aux Outre-mer comptait deux temps fort : un débat sur les enjeux et perspectives pour l’Outre-mer et un forum sur les dotations et la fiscalité Outre-mer.
Pas moins de 126 maires, maires délégués et élus municipaux ont fait le déplacement pour ce 102e congrès. Une forte délégation polynésienne était également sur place. Parmi eux, le président du syndicat pour la promotion des communes de la Polynésie française (SPCPF), Cyril Tetuanui. Pour le tavana de Tumara’a, les débats se sont bien passé. Il a été question de la proximité des maires avec la population mais aussi des finances...
Mardi 19 novembre, le président de la République a prononcé un discours de près d'une heure et demie et balayé de nombreux thèmes : suppression de la taxe d'habitation, opposition aux listes communautaires aux municipales, services publics... Si la situation n'était pas aussi tendue qu'en 2018, période de fortes tensions avec les élus locaux (le chef de l'État avait d'ailleurs fait l'impasse sur le congrès des maires), cette année Emmanuel Macron a été applaudi mais timidement.
Pas moins de 126 maires, maires délégués et élus municipaux ont fait le déplacement pour ce 102e congrès. Une forte délégation polynésienne était également sur place. Parmi eux, le président du syndicat pour la promotion des communes de la Polynésie française (SPCPF), Cyril Tetuanui. Pour le tavana de Tumara’a, les débats se sont bien passé. Il a été question de la proximité des maires avec la population mais aussi des finances...
Mardi 19 novembre, le président de la République a prononcé un discours de près d'une heure et demie et balayé de nombreux thèmes : suppression de la taxe d'habitation, opposition aux listes communautaires aux municipales, services publics... Si la situation n'était pas aussi tendue qu'en 2018, période de fortes tensions avec les élus locaux (le chef de l'État avait d'ailleurs fait l'impasse sur le congrès des maires), cette année Emmanuel Macron a été applaudi mais timidement.