A l'hôpital, la tension grandit du côté du personnel soignant face au nombre croissant de patients hospitalisés. La semaine dernière déjà, certains partenaires sociaux n’ont pas hésité à tirer la sonnette d’alarme pour dénoncer le manque d’effectifs. Qu’en est-il réellement ?
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Le centre hospitalier de Taaone est en guerre pour pouvoir accueillir les malades de la covid-19. Les personnes atteintes du virus sont réparties en plusieurs services : celui du cohorting, service dédié qui est presque saturé avec 14 hospitalisations pour 16 places, celui également des urgences et de la réanimation mais aussi certains services qui ont été réaménagés pour faire face au nombre grandissant de malades.
C'est le cas par exemple en chirurgie viscérale qui est déjà saturé, mais également en néphrologie, en pneumologie et enfin dans le service de neurologie.
Au total, le CHPF dispose de 129 lits, à l'heure actuelle 77 personnes sont hospitalisées. Mais la vague n'est pas terminée. Selon les estimations, le pic de l'épidémie se situerait entre décembre et janvier.
Les conséquences se constatent au niveau du personnel. L'hôpital a identifié des ressources à mobiliser : le personnel soignant récemment retraité.
D'un point de vue technique, les dirigeants de l'hôpital devront être bons au jeu des chaises musicales car le but est que l'établissement puisse poursuivre ses activités, en particulier la prise en charge diagnostic ou thérapeutique.
Ce mercredi, la direction de l'hôpital doit rencontrer les instances du Pays avant le conseil des ministres.
C'est le cas par exemple en chirurgie viscérale qui est déjà saturé, mais également en néphrologie, en pneumologie et enfin dans le service de neurologie.
Au total, le CHPF dispose de 129 lits, à l'heure actuelle 77 personnes sont hospitalisées. Mais la vague n'est pas terminée. Selon les estimations, le pic de l'épidémie se situerait entre décembre et janvier.
Les conséquences se constatent au niveau du personnel. L'hôpital a identifié des ressources à mobiliser : le personnel soignant récemment retraité.
D'un point de vue technique, les dirigeants de l'hôpital devront être bons au jeu des chaises musicales car le but est que l'établissement puisse poursuivre ses activités, en particulier la prise en charge diagnostic ou thérapeutique.
Ce mercredi, la direction de l'hôpital doit rencontrer les instances du Pays avant le conseil des ministres.