Si au fenua le masque n'est pas encore obligatoire dans les entreprises privées, en Métropole il le sera à compter du 1er septembre. A Tahiti, ils sont jardiniers, restaurateurs ou chefs d'entreprises et tous portent le masque au travail, un masque plus ou moins contraignant.
•
Depuis le 15 juillet, le masque doit être porté dans tous les lieux accueillant du public. Une mesure préventive qui vise à se protéger de la Covid-19. La réalité de cette mesure est plus contraignante pour certains corps de métiers. C'est le cas par exemple pour Anania et son équipe qui travaillent au soleil afin d'entretenir les parcs et jardins. "Au début, ils ont eu du mal mais petit à petit c'est venu, on a pris l'habitude. Mais, ce n'est pas évident", admet Anania, adjointe responsable parcs et jardins de Papeete.
Les métiers de bouche sont loin d’être faciles de manière générale. Dans cette pizzeria, les employés sont masqués mais la chaleur s’accumule très rapidement en cuisine. "On a beaucoup de contraintes car il fait chaud, on a du mal à respirer aussi, mais comme c'est une obligation, on le fait du début jusqu'à la fin de notre service", confie Landrine Peterano, manager dans une pizzeria.
Que ce soit en extérieur ou en intérieur, tout le monde est logé à la même enseigne. Sébastien Bouzard est locataire d’un espace de co-working, il a fait le choix de placer ses deux salariés en télétravail pour éviter les contacts. Son espace de travail partagé a aussi été ré-agencé. "On a été obligés de s'adapter, les espaces sont plus grands par personne (...) Ca ne nous empêche pas de communiquer et de travailler", explique l'informaticien.
Les employés comme les employeurs, tous qualifient le port du masque de contraignant mais tous sont aussi conscients que cette mesure est nécessaire. Cette crise sanitaire réclame donc une incessante adaptation pour continuer de travailler et ainsi faire tourner l’économie.
Les métiers de bouche sont loin d’être faciles de manière générale. Dans cette pizzeria, les employés sont masqués mais la chaleur s’accumule très rapidement en cuisine. "On a beaucoup de contraintes car il fait chaud, on a du mal à respirer aussi, mais comme c'est une obligation, on le fait du début jusqu'à la fin de notre service", confie Landrine Peterano, manager dans une pizzeria.
Que ce soit en extérieur ou en intérieur, tout le monde est logé à la même enseigne. Sébastien Bouzard est locataire d’un espace de co-working, il a fait le choix de placer ses deux salariés en télétravail pour éviter les contacts. Son espace de travail partagé a aussi été ré-agencé. "On a été obligés de s'adapter, les espaces sont plus grands par personne (...) Ca ne nous empêche pas de communiquer et de travailler", explique l'informaticien.
Les employés comme les employeurs, tous qualifient le port du masque de contraignant mais tous sont aussi conscients que cette mesure est nécessaire. Cette crise sanitaire réclame donc une incessante adaptation pour continuer de travailler et ainsi faire tourner l’économie.