A l’approche du procès du crash d’air Moorea La défense s’organise. Selon maître Quinquis, la rupture du câble des gouvernes n’est pas à l’origine de l’accident. Le drame survenu le 9 aout 2007 entre tahiti et moorea avait fait 20 morts dont le pilote.
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Cet après-midi, Bernard Dubucq, expert aéronautique a présenté ses travaux d’analyse: "Les déchirures observées dans la paroi sont tellement importantes après l'impact, comment voulez qu'un câble déjà cassé puisse avoir la force de provoquer de tels dégâts dans la structure. Le câble s'est cassé après l'impact ou à la remontée"
Maître Quinquis, avocat de Air Moorea, a rappelé les mêmes invraissemblances, en ajoutant que "les gens que je représente ne sont pas forcément responsables de cet accident contrairement aux fausses allégations prononcées à l'issue des réquisitions du Procureur de la République. Nous sommes là pour le démontrer aujourd'hui".
Le film projeté a été réalisé avec les éléments recueillis par le CEPR, le centre d’essai des propulseurs.Ce service rattaché au ministère de la défense effectue les analyses préalables avant de les transmettre au BEA, au bureau d’enquête et d’analyse pour la sécurité de l’aviation.
Cette analyse n’a pas été retenue par le juge instructeur qui devrait formuler l’ordonnance de renvoi de l’affaire du crash en correctionnel.
« Une parodie de la défense pour se dédouaner » selon Nikolaz Fourreau, le président de l’association des familles des victimes.
La piste d'un malaise du pilote est relancée entre les lignes à travers ce dossier très technique mais aussi très éprouvant pour les proches des disparus, qui ne comprennent pas pourquoi le parquet a mis autant d'années à fixer un horizon judiciaire, "avant la fin de l'année 2016", comme annoncé par le Procureur José Thorel lors de la rentrée solennelle de la Cour d'Appel.
Maître Quinquis, avocat de Air Moorea, a rappelé les mêmes invraissemblances, en ajoutant que "les gens que je représente ne sont pas forcément responsables de cet accident contrairement aux fausses allégations prononcées à l'issue des réquisitions du Procureur de la République. Nous sommes là pour le démontrer aujourd'hui".
Le film projeté a été réalisé avec les éléments recueillis par le CEPR, le centre d’essai des propulseurs.Ce service rattaché au ministère de la défense effectue les analyses préalables avant de les transmettre au BEA, au bureau d’enquête et d’analyse pour la sécurité de l’aviation.
Cette analyse n’a pas été retenue par le juge instructeur qui devrait formuler l’ordonnance de renvoi de l’affaire du crash en correctionnel.
« Une parodie de la défense pour se dédouaner » selon Nikolaz Fourreau, le président de l’association des familles des victimes.
La piste d'un malaise du pilote est relancée entre les lignes à travers ce dossier très technique mais aussi très éprouvant pour les proches des disparus, qui ne comprennent pas pourquoi le parquet a mis autant d'années à fixer un horizon judiciaire, "avant la fin de l'année 2016", comme annoncé par le Procureur José Thorel lors de la rentrée solennelle de la Cour d'Appel.
Crash d’Air Moorea , une nouvelle contre expertise balaye la rupture du câble en vol