Mercredi 22 novembre, à partir de minuit, deux grèves pourraient être effectives si les négociations n'aboutissent pas. La première concerne la cuisine centrale, la seconde le quotidien la Dépêche de Tahiti.
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Faute d’accord, la grève à la cuisine centrale sera effective mercredi à minuit, à l’appel de la CSIP. Si le conflit n’est pas évité, ce sont 4 500 repas qui ne seront plus servis dans les écoles primaires et maternelles de Papeete, et dans certains établissements scolaires d’Arue. Les revendications concernent en grande majorité les salaires. Des négociations sont prévues à 16h00, ce mercredi 22 novembre.
Du côté de la Dépêche de Tahiti l'heure est aux négociations. Un premier tour de table est prévu à 14h00, ce mercredi, entre la direction générale du groupe de communication et les confédérations CSIP et O oe to oe rima. Si aucun accord n’était trouvé, la grève serait effective ce soir à minuit.
Les salariés du plus vieux quotidien de Polynésie française sont inquiets, depuis l’annonce de l’externalisation de l’impression de leur quotidien, de leur magazine et de leur gratuit chez la concurrence. Inquiets également depuis l’annonce de mesures de reclassement du personnel.
Les deux syndicats dénoncent aussi le recours aux patentés en lieu et place de salariés permanents, la suppression du treizième mois, de la prime d’ancienneté de la carte de presse.
Du côté de la Dépêche de Tahiti l'heure est aux négociations. Un premier tour de table est prévu à 14h00, ce mercredi, entre la direction générale du groupe de communication et les confédérations CSIP et O oe to oe rima. Si aucun accord n’était trouvé, la grève serait effective ce soir à minuit.
Les salariés du plus vieux quotidien de Polynésie française sont inquiets, depuis l’annonce de l’externalisation de l’impression de leur quotidien, de leur magazine et de leur gratuit chez la concurrence. Inquiets également depuis l’annonce de mesures de reclassement du personnel.
Les deux syndicats dénoncent aussi le recours aux patentés en lieu et place de salariés permanents, la suppression du treizième mois, de la prime d’ancienneté de la carte de presse.