Les premières lois imprimées de 1819 à 1838 en langue tahitienne ont elles engendré une rupture dans la société Polynésienne ?
C'est la question que pose Sylvia Richaud dans son nouvel ouvrage, le deuxième volume de "Ua mana Te Ture" : "Rupture ou mutation ?" Le livre aborde le contexte dans lequel ces lois ont été élaborées et écrites. Vaihere Sylvia Tuheiava-Richaud, maître de conférences en langue, culture et littérature tahitiennes à l'université.
Les premières lois imprimées de 1819 à 1838 en langue tahitienne ont elles engendré une rupture dans la société Polynésienne ?C'est la question que pose Sylvia Richaud dans son nouvel ouvrage, le deuxième volume de "Ua mana Te Ture" : "Rupture ou mutation ?" Le livre aborde le contexte dans lequel ces lois ont été élaborées et écrites. Vaihere Sylvia Tuheiava-Richaud, maître de conférences en langue, culture et littérature tahitiennes à l'université.
•