Des exercices de bridge en cours de mathématiques. Tel est le thème de la formation dispensée tout au long de la journée de jeudi aux enseignants de Polynésie française, au collège de Punaauia. Quel est l'intérêt éducatif ?
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Depuis une vingtaine d’années, le bridge séduit de plus en plus les jeunes pratiquants. Sous l’impulsion de la Fédération Française de Bridge, il a fait son entrée dans les écoles, collèges ou lycées en occupant le temps péri-scolaire de plus de 7 000 élèves par an.
Depuis 2012, on le retrouve au sein même des cours de mathématiques. Bénéfique pour développer son sens de l’analyse, sa stratégie, son esprit de synthèse ou encore sa mémoire, le bridge repose également sur la maîtrise des probabilités simples. Un atout indispensable pour améliorer ses notes.
Près de trois cent enseignants ont suivi des formations pour maîtriser ce nouvel outil et le matériel pédagogique spécifiquement développé.
Certains ont même obtenu de remplacer des heures de mathématiques par des heures de bridge. « Le bridge fait sauter le blocage psychologique que les élèves ont avec les mathématiques. » explique Pascal Evrard, professeur au Collège Montaigne de Poix du Nord (59). « Ils apprécient énormément car cela les change des exercices classiques que l’on trouve dans les livres. Ils manipulent des cartes, ce qui introduit du concret et leur permet d’apprendre de manière ludique ».
Depuis 2012, on le retrouve au sein même des cours de mathématiques. Bénéfique pour développer son sens de l’analyse, sa stratégie, son esprit de synthèse ou encore sa mémoire, le bridge repose également sur la maîtrise des probabilités simples. Un atout indispensable pour améliorer ses notes.
Près de trois cent enseignants ont suivi des formations pour maîtriser ce nouvel outil et le matériel pédagogique spécifiquement développé.
Certains ont même obtenu de remplacer des heures de mathématiques par des heures de bridge. « Le bridge fait sauter le blocage psychologique que les élèves ont avec les mathématiques. » explique Pascal Evrard, professeur au Collège Montaigne de Poix du Nord (59). « Ils apprécient énormément car cela les change des exercices classiques que l’on trouve dans les livres. Ils manipulent des cartes, ce qui introduit du concret et leur permet d’apprendre de manière ludique ».