Mardi 12 mars, une convention Etat-Pays a été signée. Il s’agit d’une convention qui répond à la mise en place de parcours personnalisés, adaptés et destinés à permettre la poursuite ou la reprise d'études afin de lutter contre l'illettrisme et le décrochage scolaire.
•
Cette semaine a eu lieu la signature d'une convention pour la lutte contre l'illettrisme et le décrochage scolaire. Les jeunes convoqués aux journées défense et citoyenneté (JDC) par le Centre du service national de la Polynésie française, détectés en situation de suspicion d'illettrisme ou de décrochage scolaire, doivent se voir proposer par les différents partenaires du dispositif une aide personnalisée et adaptée à leurs besoins.
En 2017, le pourcentage de jeunes de 16 à 25 ans, repérés en situation de suspicion d'illettrisme reste élevé, de l'ordre de 15 %. Ceux qui sont scolarisés représentent 8%, soit 671 jeunes. Ces derniers sont signalés par la Direction Générale de l'Éducation et des Enseignements (DGEE) aux lycées et bénéficient dans leur établissement d'une aide individualisée ou d'un accompagnement personnalisé. Ce sont pour la plupart des lycéens professionnels qui peuvent être en difficulté de lecture mais en aucun cas illettrés.
Quant aux jeunes dépistés lors des JDC et qui sont déscolarisés depuis plus d'un an, la mission de lutte contre le décrochage scolaire (MLDS) du ministère de l'Education se charge de les accueillir et de les accompagner vers la formation ou l'insertion.
En 2017, le pourcentage de jeunes de 16 à 25 ans, repérés en situation de suspicion d'illettrisme reste élevé, de l'ordre de 15 %. Ceux qui sont scolarisés représentent 8%, soit 671 jeunes. Ces derniers sont signalés par la Direction Générale de l'Éducation et des Enseignements (DGEE) aux lycées et bénéficient dans leur établissement d'une aide individualisée ou d'un accompagnement personnalisé. Ce sont pour la plupart des lycéens professionnels qui peuvent être en difficulté de lecture mais en aucun cas illettrés.
Quant aux jeunes dépistés lors des JDC et qui sont déscolarisés depuis plus d'un an, la mission de lutte contre le décrochage scolaire (MLDS) du ministère de l'Education se charge de les accueillir et de les accompagner vers la formation ou l'insertion.