L'appel aux dons lancé dès hier soir, quelques heures après l'incendie qui a ravagé quatre maisons de Faa'a, a été entendu. Pendant que les agents de la commune aident à nettoyer les ruines, les particuliers viennent déposer vêtements et ustensiles de cuisine.
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Le dernier bilan fait état de quatre maisons détruites et cinq familles sinistrées. Dès le lendemain de l'incendie qui a ravagé quatre maisons, lundi 16 septembre, à Faa'a, la population s’est mobilisée.
Les habitants de Faa’a, mais aussi de communes alentours se sont rendus à la mairie pour faire des dons. La commune a recensé plus d’une trentaine de colis : des vêtements, mais aussi des ustensiles de cuisine.
Le maire de Faa'a, Oscar Temaru, est également en relation avec Jean-Christophe Bouissou, ministre du logement, pour tenter de fournir au plus vite un toit aux cinq familles sinistrées. "On sait qu'ils auront un relogement, ça c'est sûr, affirme le 1er adjoint de la mairie de Faa'a, Robert Maker. Quand ? Ca, ça dépend du Pays, car ce sont des logements qui appartiennent au Pays."
Les familles, qui vivaient là depuis 40 ans, auraient souhaité pouvoir reconstruire, mais leurs terrains ayant une surface inférieure à 400 m², elles n'obtiendront pas de permis de construire.
Les familles sinistrées pourraient être relogées au lotissement social de Teroma et à Heiri. Mais elles disent ne pas pouvoir assumer le versement d'un loyer.
En attendant, elles refusent de quitter leurs terrains.
La Cuisine centrale a également fait des livraisons et les agents de la communes sont venus prêter main forte pour nettoyer les terrains.
19 personnes se retrouvent pour l'instant sans maison. La mairie de Faa'a précise qu'il y a des enfants, filles et garçons, âgés de 4, 10, 13, 14, 15, 16 et des plus âgés encore à charge : 18,19, 20 ans et 9 adultes.
Les dons de vêtements et plus particulièrement les chaussures sont les bienvenus. Ils peuvent être déposés à la Brigade de la police municipale de Faa'a à toute heure ou au service de la solidarité aux heures d'ouverture (du lundi au jeudi 7h30-15h30 et le vendredi 7h30-14h30).
Les habitants de Faa’a, mais aussi de communes alentours se sont rendus à la mairie pour faire des dons. La commune a recensé plus d’une trentaine de colis : des vêtements, mais aussi des ustensiles de cuisine.
Le maire de Faa'a, Oscar Temaru, est également en relation avec Jean-Christophe Bouissou, ministre du logement, pour tenter de fournir au plus vite un toit aux cinq familles sinistrées. "On sait qu'ils auront un relogement, ça c'est sûr, affirme le 1er adjoint de la mairie de Faa'a, Robert Maker. Quand ? Ca, ça dépend du Pays, car ce sont des logements qui appartiennent au Pays."
Les familles, qui vivaient là depuis 40 ans, auraient souhaité pouvoir reconstruire, mais leurs terrains ayant une surface inférieure à 400 m², elles n'obtiendront pas de permis de construire.
Les familles sinistrées pourraient être relogées au lotissement social de Teroma et à Heiri. Mais elles disent ne pas pouvoir assumer le versement d'un loyer.
En attendant, elles refusent de quitter leurs terrains.
Robert Maker, 1er adjoint au maire de Faa'a
19 personnes se retrouvent pour l'instant sans maison. La mairie de Faa'a précise qu'il y a des enfants, filles et garçons, âgés de 4, 10, 13, 14, 15, 16 et des plus âgés encore à charge : 18,19, 20 ans et 9 adultes.
Les dons de vêtements et plus particulièrement les chaussures sont les bienvenus. Ils peuvent être déposés à la Brigade de la police municipale de Faa'a à toute heure ou au service de la solidarité aux heures d'ouverture (du lundi au jeudi 7h30-15h30 et le vendredi 7h30-14h30).
Solidarité pour les sinistrés de Faa’a