C'est la mésaventure survenue à un jeune Polynésien cette semaine, à Papara. Une plainte a été déposée à la gendarmerie, et une enquête tente de déterminer les responsabilités dans ce cas de figure, qui s'avère être rarissime.
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C’est un jour comme un autre pour Tevarii* qui vient retirer du liquide dans un distributeur de Papara. Mais dans la liasse de billets de 10 000 cfp, un faux billet facilement repérable. Le jeune homme se rend alors dans l’agence pour faire une réclamation. "Le billet ne provient pas de chez nous, c'est de votre faute", lui répond-on. Tevarii décide de porter plainte afin de dénoncer certaines failles dans les banques.
Si le fait est avéré, il s’agirait d’une première. En effet, si quelques faux billets circulent sur le territoire, jamais en 25 ans de service, ils ne se sont trouvés dans des distributeurs. Et pour cause, l’alimentation des DAB fait l’objet d’un encadrement hyper sécurisé, comme l'explique Evelyne Brichet, fondée de pouvoir dans une banque polynésienne.
Attention, sachez que si vous tombez sur un faux billet, il ne faudra espérer aucun remboursement. "La personne est responsable de son billet. Il faut donc être vigilant lorsqu'on a un billet dans les mains", explique Claude Periou, directeur de l'IEOM
Reste que la situation demeure embarrassante pour la banque qui a lancé une enquête interne en relation avec l’IEOM.
* Le prénom a été modifié
Retrouvez le reportage complet dans les journaux télévisés de ce jeudi 10 novembre sur Polynésie 1ère
Un faux billet au distributeur automatique
Si le fait est avéré, il s’agirait d’une première. En effet, si quelques faux billets circulent sur le territoire, jamais en 25 ans de service, ils ne se sont trouvés dans des distributeurs. Et pour cause, l’alimentation des DAB fait l’objet d’un encadrement hyper sécurisé, comme l'explique Evelyne Brichet, fondée de pouvoir dans une banque polynésienne.
Attention, sachez que si vous tombez sur un faux billet, il ne faudra espérer aucun remboursement. "La personne est responsable de son billet. Il faut donc être vigilant lorsqu'on a un billet dans les mains", explique Claude Periou, directeur de l'IEOM
Reste que la situation demeure embarrassante pour la banque qui a lancé une enquête interne en relation avec l’IEOM.
* Le prénom a été modifié
Retrouvez le reportage complet dans les journaux télévisés de ce jeudi 10 novembre sur Polynésie 1ère