Une importante séquence sismique s’est produite dimanche au Nord de la Nouvelle-Zélande, dans une zone concernant à la fois Samoa, Tonga et la collectivité française de Wallis-et-Futuna, rapporte l’institut géophysique américain USGS, basé à Denver (Colorado).
La première de ces secousses, de magnitude 6,2 sur l’échelle ouverte de Richter, est survenue dimanche à 15h52 GMT (3h52 locales).
L’épicentre a été localisé à une profondeur proche de dix kilomètres en-dessous du niveau de la mer, à 173 kilomètres au Sud-sud-est de Mata’Utu (Wallis), selon les mêmes sources.
Aucun dégât ni blessé n’a été immédiatement signalé pour cet événement sismique, qui avait été initialement mesuré à 6,8 sur l’échelle de Richter.
La seconde secousse, un peu plus d’une heure (17h15 GMT, cinq heures du matin locales, lundi) après la première, a été mesurée à une magnitude 5,8 sur l’échelle de Richter (rectifiée de 6,8), toujours dans la même zone, mais à une profondeur de 11 kilomètres en-dessous du niveau de la mer, à 211 kilomètres au Sud-sud-est de Mata’Utu, au sommet de la fosse des Tonga, qui se prolonge à l’Ouest de l’archipel-royaume.
Dans les deux cas, le centre régional d’alerte aux tsunamis pour le Pacifique, basé à Pearl Harbour (Hawaii), dans des bulletins spécifiques, a estimé que ces secousses n’étaient pas de nature à générer une vague destructrice d’ampleur régionale.
La plupart des îles de la Mélanésie, ainsi que toutes les régions du Pacifique concernées régulièrement par cette forte activité volcanique et sismique, constituent ce qu’il est convenu d’appeler la « ceinture de feu du Pacifique ».
Cette zone comporte les plus fortes sismicités et la plus haute concentration de volcans actifs au monde.
Elle englobe aussi bien les îles de la Mélanésie (Papouasie-Nouvelle-Guinée, îles Salomon, Vanuatu) que celles, plus au Nord, de la Micronésie (Marianne du Nord, Guam), au Sud, une zone polynésienne incluant la Nouvelle-Zélande et Tonga et plus à l’Est, la région d’Hawaii en formant une sorte de fer à cheval inversé.
http://newspad-pacific.info/
L’épicentre a été localisé à une profondeur proche de dix kilomètres en-dessous du niveau de la mer, à 173 kilomètres au Sud-sud-est de Mata’Utu (Wallis), selon les mêmes sources.
Aucun dégât ni blessé n’a été immédiatement signalé pour cet événement sismique, qui avait été initialement mesuré à 6,8 sur l’échelle de Richter.
La seconde secousse, un peu plus d’une heure (17h15 GMT, cinq heures du matin locales, lundi) après la première, a été mesurée à une magnitude 5,8 sur l’échelle de Richter (rectifiée de 6,8), toujours dans la même zone, mais à une profondeur de 11 kilomètres en-dessous du niveau de la mer, à 211 kilomètres au Sud-sud-est de Mata’Utu, au sommet de la fosse des Tonga, qui se prolonge à l’Ouest de l’archipel-royaume.
Dans les deux cas, le centre régional d’alerte aux tsunamis pour le Pacifique, basé à Pearl Harbour (Hawaii), dans des bulletins spécifiques, a estimé que ces secousses n’étaient pas de nature à générer une vague destructrice d’ampleur régionale.
La plupart des îles de la Mélanésie, ainsi que toutes les régions du Pacifique concernées régulièrement par cette forte activité volcanique et sismique, constituent ce qu’il est convenu d’appeler la « ceinture de feu du Pacifique ».
Cette zone comporte les plus fortes sismicités et la plus haute concentration de volcans actifs au monde.
Elle englobe aussi bien les îles de la Mélanésie (Papouasie-Nouvelle-Guinée, îles Salomon, Vanuatu) que celles, plus au Nord, de la Micronésie (Marianne du Nord, Guam), au Sud, une zone polynésienne incluant la Nouvelle-Zélande et Tonga et plus à l’Est, la région d’Hawaii en formant une sorte de fer à cheval inversé.
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