Lors de la réunion des Polynésian Leaders Group, les dirigeants du Pacifique ont évoqué la mise en place d’une liaison aérienne régionale, sur le modèle de la « Route du corail » des années 1950.
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Le président Edouard Fritch avait déjà exprimé le souhait de ré-ouvrir cette route aérienne en 2015, qui selon lui, pourrait permettre à la Polynésie d’atteindre de nouveaux marchés dans la région.
Le projet pourrait intéresser aussi les Samoa, les Iles Cook, et peut-être les Tonga. Ces derniers participeraient donc aux financements de la mise en place d’une nouvelle compagnie aérienne. L’objectif principal étant d’attirer un tourisme de circuit, c'est-à-dire, un trajet en boucle dont le départ et l’arrivée se font au même point. Tahiti ferait donc partie de ce circuit, ce qui permettrait d’attirer davantage de visiteurs.
L’avion choisi pour relier ces îles serait un avion à fuselage étroit, plus connu comme avion monocouloir, dont l’autonomie est inférieure à 10 000 km. Cette gamme représente à elle seule 60 à 73 % des commandes d’Airbus et de Boeïng.
Cette route aérienne était exploitée dans les années 1950 par la compagnie TEAL, elle permettait notamment de rallier Auckland, la capitale de la Nouvelle-Zélande, à Papeete, en passant par les Fidji, les Samoa et les iles Cook.
Ce projet de restauration d'une "route du corail" avait déjà été suggéré en 2011 par Oscar Temaru, alors chef de l'exécutif local, avant de retomber dans les oubliettes.
Outre l’attrait l’économique, ce projet a aussi pour objectif de favoriser les échanges entre les pays du Pacifique. Pour le président Edouard Fritch, «l’intérêt, c’est que cet opérateur nouveau qui va naître ici, à Samoa, à Tonga ou à Papeete, il faudrait que les pays concernés viennent non seulement, soutenir moralement mais surtout financièrement. Il faut que nous soyons tous intéressés, financièrement par cette opération, et que naturellement derrière, nous prendrons tous ensemble, les décisions de desserte, et de fréquence»
Rien n’a été conclut pour l’heure. Mais en attendant, Edouard Fritch a invité tous les chefs d’Etats du Pacifique à se rendre à Raiatea, le 1er novembre prochain, pour célébrer l’inscription de marae Taputapuatea au patrimoine mondial de l’Unesco.
Le projet pourrait intéresser aussi les Samoa, les Iles Cook, et peut-être les Tonga. Ces derniers participeraient donc aux financements de la mise en place d’une nouvelle compagnie aérienne. L’objectif principal étant d’attirer un tourisme de circuit, c'est-à-dire, un trajet en boucle dont le départ et l’arrivée se font au même point. Tahiti ferait donc partie de ce circuit, ce qui permettrait d’attirer davantage de visiteurs.
L’avion choisi pour relier ces îles serait un avion à fuselage étroit, plus connu comme avion monocouloir, dont l’autonomie est inférieure à 10 000 km. Cette gamme représente à elle seule 60 à 73 % des commandes d’Airbus et de Boeïng.
Cette route aérienne était exploitée dans les années 1950 par la compagnie TEAL, elle permettait notamment de rallier Auckland, la capitale de la Nouvelle-Zélande, à Papeete, en passant par les Fidji, les Samoa et les iles Cook.
Ce projet de restauration d'une "route du corail" avait déjà été suggéré en 2011 par Oscar Temaru, alors chef de l'exécutif local, avant de retomber dans les oubliettes.
Outre l’attrait l’économique, ce projet a aussi pour objectif de favoriser les échanges entre les pays du Pacifique. Pour le président Edouard Fritch, «l’intérêt, c’est que cet opérateur nouveau qui va naître ici, à Samoa, à Tonga ou à Papeete, il faudrait que les pays concernés viennent non seulement, soutenir moralement mais surtout financièrement. Il faut que nous soyons tous intéressés, financièrement par cette opération, et que naturellement derrière, nous prendrons tous ensemble, les décisions de desserte, et de fréquence»
Rien n’a été conclut pour l’heure. Mais en attendant, Edouard Fritch a invité tous les chefs d’Etats du Pacifique à se rendre à Raiatea, le 1er novembre prochain, pour célébrer l’inscription de marae Taputapuatea au patrimoine mondial de l’Unesco.