La Chambre de l’Instruction a examiné, ce matin, la demande du leader orange. Il souhaite que dans l’affaire dite de la vaisselle de la Présidence, son contrôle judiciaire soit levé. Le ministère public a requis le rejet de la demande.
Pour son avocat, maître François QUINQUIS, Gaston FLOSSE n’a rien à se reprocher: "Je suis de plus en plus convaincu que l'infraction ou les infractions reprochées à Mr Gaston FLOSSE n'existent pas. Il est bien évident que pour infliger un contrôle judiciaire de cette importance, encore faut-il avoir la certitude que l'infraction existat. Et nul doute que la chambre aura à coeur d'examiner avec beaucoup de recul et de sérieux les éléments constitutifs de cette infraction.
Vous savez, venir reprocher à Mr FLOSSE une mise à disposition de bureaux et des coups de peinture dans le bureau de l'Assemblée, ça me paraît être complètement dérisoire, si ce n'est que pour la simple finalité d'écarter Mr FLOSSE de toute la sphère décisionnelle".
Vendredi, le juge d’instruction, Philippe STELMACH, en charge de l’affaire dite de la vaisselle de la Présidence a allégé les conditions de son contrôle judiciaire. En permettant à l’ex-sénateur d’entrer en contact avec Marcel TUIHANI et Edouard FRITCH. Par contre, il ne peut se rendre, ni à l’Assemblée, ni à la Présidence.
Vous savez, venir reprocher à Mr FLOSSE une mise à disposition de bureaux et des coups de peinture dans le bureau de l'Assemblée, ça me paraît être complètement dérisoire, si ce n'est que pour la simple finalité d'écarter Mr FLOSSE de toute la sphère décisionnelle".
Vendredi, le juge d’instruction, Philippe STELMACH, en charge de l’affaire dite de la vaisselle de la Présidence a allégé les conditions de son contrôle judiciaire. En permettant à l’ex-sénateur d’entrer en contact avec Marcel TUIHANI et Edouard FRITCH. Par contre, il ne peut se rendre, ni à l’Assemblée, ni à la Présidence.