C'est aujourd'hui la journée mondiale de la prématurité. En Polynésie, environ 600 enfants par an en moyenne, naissent avant terme. Une centaine d'entre eux sont considérés comme des grands prématurés. Que deviennent -ils ? Comment vivent-ils ? Témoignages
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Un petit garçon de 4 ans comme tous les autres dans sa classe à l'école. Et pourtant, ses tous premiers jours ont été difficiles. Il ne pesait en effet que 920 grammes à sa naissance. A l’hôpital du Taaone, à l'occasion de l'exposition consacrée aux grands prématurés, devant les photos du premier jour, sa maman se souvient de cette naissance à 5 mois et demi de grossesse. Deux semaines sans toucher le bébé et des mois à le voir dépendant d’une machine, avec des pics d’angoisse. Et cet immense sentiment de solitude et de détresse que vivent les parents de grands prématurés.
En Polynésie, les grands prématurés sont pris en charge à partir de 26 semaines d’aménorrhée, soit moins de 6 mois avec un pronostic qui s’est beaucoup amélioré , grâce aux progrès de la médecine et à la grande compétence du personnel soignant.
C'est ce que vous propose de découvrir le reportage de Brigitte Olivier, Heiata Buluc et Mirko Vanfau qui vous racontent trois destins croisés.
En Polynésie, les grands prématurés sont pris en charge à partir de 26 semaines d’aménorrhée, soit moins de 6 mois avec un pronostic qui s’est beaucoup amélioré , grâce aux progrès de la médecine et à la grande compétence du personnel soignant.
C'est ce que vous propose de découvrir le reportage de Brigitte Olivier, Heiata Buluc et Mirko Vanfau qui vous racontent trois destins croisés.
Grand prématuré, un début de vie difficile mais plein d’espoir