Un classique ou presque. A chaque réforme de l'université, ses cortèges juvéniles de protestation.
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C'est actuellement vrai en Métropole. A Montpellier et Toulouse, où il y a une forte communauté d'étudiants de Polynésie, les facultés de sciences humaines sont occupées.
Le motif de la grogne: un nouveau système d'accès aux filières de l'université. Ici à l'UPF, pas une banderole ou une Assemblée Générale. La vie universitaire suit son cours. En Polynésie, cette sélection à l'entrée s'appliquera comme partout en métropole, mais pas avec la même intensité.
Tout le monde a la tête aux révisions. Thierry Stampfler avec Mirko Vanfau
Le motif de la grogne: un nouveau système d'accès aux filières de l'université. Ici à l'UPF, pas une banderole ou une Assemblée Générale. La vie universitaire suit son cours. En Polynésie, cette sélection à l'entrée s'appliquera comme partout en métropole, mais pas avec la même intensité.
Tout le monde a la tête aux révisions. Thierry Stampfler avec Mirko Vanfau
Grogne étudiante : la Polynésie reste calme
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