En première ligne, les entrepreneurs se battent pour sauver leur activité et les emplois qui en dépendent.
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Depuis mars l’économie mondiale a subi un violent coup d’arrêt et la Polynésie n’y échappe pas.
Le confinement et la fermeture des frontières ont entraîné une chute brutale de certaines activités fortement dépendantes du tourisme : le transport aérien, l’hôtellerie, la restauration et les prestations de loisirs en particulier.
De très nombreux autres secteurs ont également subi de plein fouet cette crise et les entreprises les plus fragiles accusent le coup en dépit des dispositifs d’aide mis en place par les pouvoirs publics.
Les chefs d’entreprises sont en première ligne et se battent pour tenter de sauver leur activité et les milliers d’emplois qui en dépendent.
Le confinement et la fermeture des frontières ont entraîné une chute brutale de certaines activités fortement dépendantes du tourisme : le transport aérien, l’hôtellerie, la restauration et les prestations de loisirs en particulier.
De très nombreux autres secteurs ont également subi de plein fouet cette crise et les entreprises les plus fragiles accusent le coup en dépit des dispositifs d’aide mis en place par les pouvoirs publics.
Les chefs d’entreprises sont en première ligne et se battent pour tenter de sauver leur activité et les milliers d’emplois qui en dépendent.
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