Vendredi 13 novembre se déroule la journée mondiale du diabète, à Tahiti. La Polynésie est l'un des pays les plus concernés : de plus en plus d’habitants sont atteints de diabète. S’ils ne pourront jamais en guérir, ils peuvent traiter et contrôler cette maladie chronique.
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Sarah, 22 ans, est une stagiaire comme les autres, ou presque... En effet, la jeune femme, en stage à polynésie 1ère durant six mois, est atteinte d'un diabète de type 1, aussi appelé diabète maigre. Sarah n'est pas en surpoids, c'est son pancréas qui ne produit plus d’insuline pour réguler son taux de sucre. Sa maladie a été détectée il y a désormais six ans suite à plusieurs malaises.
Thomas Teriiteporouarai est lui aussi atteint de diabète de type 1. Malgré la maladie, ce grand reporter de Polynésie 1ère travaille comme tout le monde, avec néanmoins quelques contraintes. A l'inverse de Sarah, Thomas n'a pas à se faire des piqûres d'insuline mais il doit prendre des cachets au quotidien : un avant chaque repas. Cela permet de réguler son taux de sucre. Par contre, le journaliste est interdit de toute activité physique intense. Les reportages à l’extérieur lui sont donc proscrits.
Comme tout diabétique, Sarah a elle aussi beaucoup d’obligations. Elle aussi doit faire attention à sa prise d'insuline. La jeune femme doit faire quatre injections quotidiennes d’insuline : le matin, le midi, et le soir. Et, en cas d’oubli, des complications surviennent :
Aujourd’hui, Sarah gère mieux son diabète. Malheureusement, cette maladie la suivra tout au long de sa vie. Comme Thomas, et des milliers de malades atteinte de diabète.
Vendredi 13 novembre se déroule la journée mondiale du diabète, à Tahiti. La Polynésie est l'un des pays les plus concernés : de plus en plus d’habitants sont atteints de diabète. S’ils ne pourront jamais en guérir, ils peuvent traiter et contrôler cette maladie chronique.
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Après des signes alarmants, et des analyses de sang, le diagnostic est tombé : Sarah est diabétique. Malgré les traitements, la jeune femme avoue avoir eu du mal à l'accepter mais aussi avoir mal géré sa maladie au début. Du coup, c'est sa santé qui en a pris un coup.
Des contraintes importantes
Thomas Teriiteporouarai est lui aussi atteint de diabète de type 1. Malgré la maladie, ce grand reporter de Polynésie 1ère travaille comme tout le monde, avec néanmoins quelques contraintes. A l'inverse de Sarah, Thomas n'a pas à se faire des piqûres d'insuline mais il doit prendre des cachets au quotidien : un avant chaque repas. Cela permet de réguler son taux de sucre. Par contre, le journaliste est interdit de toute activité physique intense. Les reportages à l’extérieur lui sont donc proscrits.
Comme tout diabétique, Sarah a elle aussi beaucoup d’obligations. Elle aussi doit faire attention à sa prise d'insuline. La jeune femme doit faire quatre injections quotidiennes d’insuline : le matin, le midi, et le soir. Et, en cas d’oubli, des complications surviennent :
Aujourd’hui, Sarah gère mieux son diabète. Malheureusement, cette maladie la suivra tout au long de sa vie. Comme Thomas, et des milliers de malades atteinte de diabète.