En prélude du Salon Nautica qui ouvre ses portes jeudi, le forum des métiers de la mer a débuté aujourd'hui, mercredi 25 mars. Cette rencontre marque l'occasion pour les professionnels de rappeler la place importante des métiers de la mer en Polynésie française.
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Reportage de Teupoo Poulrad / Jacques Damour / Thomas Teriiteporouarai
Le forum des métiers de la mer débute ce mercredi 25 mars, en pré-ouverture du Salon Nautica qui se déroulera du 26 au 29 mars, à la salle Aorai Tinihau. Au cours de ce forum, une table ronde est organisée, une cinquantaine de représentants des sociétés ayant une activité dans le monde maritime ainsi que des chefs de services du pays y sont attendus.
Quels sont les objectifs de cette rencontre ? Il s'agit avant tout de cartographier les métiers de la mer existant pour ensuite évaluer les besoins des entreprises. En Polynésie française, la mer représente un potentiel non négligeable en terme de création de l'emploi. D'autant que près de 40 % des ressources propres du territoire émanent de l'économie bleue.
Reportage de Caroline Farhi.
Pour le président du cluster maritime, Gérard Sioux, il est urgent d’instaurer un baccalauréat des métiers de la mer, il s’en explique au micro de Caroline Farhi
En plus de la cinquantaine de participants présents au forum, la ministre de l’Emploi, Tea Frogier, était également sur place. Cette dernière estime qu’il faut déjà coordonner les filières existantes.
Tea Frogier :
A cette occasion, nos journalistes sont partis à la rencontre des élèves du centre des métiers de la mer de Polynésie française. Ce centre forme les jeunes au métier de matelot jusqu'à celui de capitaine de navire, ces formations durent en général de trois à quatre mois. Chaque année le centre accueille 120 stagiaires, une cinquantaine sont actuellement en formation.
Ce mercredi matin, aux côtés de leur instructeur, trois élèves passant leur brevet d'officier chef de quart passerelle ont pu simuler le pilotage d'un porte-conteneurs dans le port de Brest en France, réputé pour être l'un des plus dangereux du monde, avant de pratiquer l'accostage.
L'interview de Tunui Pureni, l'instructeur de la formation :
L'interview d'Edwine Vivish, l'un des élèves de la formation :
Les métiers de la mer ont de l’avenir
Le forum des métiers de la mer débute ce mercredi 25 mars, en pré-ouverture du Salon Nautica qui se déroulera du 26 au 29 mars, à la salle Aorai Tinihau. Au cours de ce forum, une table ronde est organisée, une cinquantaine de représentants des sociétés ayant une activité dans le monde maritime ainsi que des chefs de services du pays y sont attendus.
Quels sont les objectifs de cette rencontre ? Il s'agit avant tout de cartographier les métiers de la mer existant pour ensuite évaluer les besoins des entreprises. En Polynésie française, la mer représente un potentiel non négligeable en terme de création de l'emploi. D'autant que près de 40 % des ressources propres du territoire émanent de l'économie bleue.
Reportage de Caroline Farhi.
forum mer
Pour le président du cluster maritime, Gérard Sioux, il est urgent d’instaurer un baccalauréat des métiers de la mer, il s’en explique au micro de Caroline Farhi
forum mer sioux
En plus de la cinquantaine de participants présents au forum, la ministre de l’Emploi, Tea Frogier, était également sur place. Cette dernière estime qu’il faut déjà coordonner les filières existantes.
Tea Frogier :
forum metier mer frogier
A cette occasion, nos journalistes sont partis à la rencontre des élèves du centre des métiers de la mer de Polynésie française. Ce centre forme les jeunes au métier de matelot jusqu'à celui de capitaine de navire, ces formations durent en général de trois à quatre mois. Chaque année le centre accueille 120 stagiaires, une cinquantaine sont actuellement en formation.
Ce mercredi matin, aux côtés de leur instructeur, trois élèves passant leur brevet d'officier chef de quart passerelle ont pu simuler le pilotage d'un porte-conteneurs dans le port de Brest en France, réputé pour être l'un des plus dangereux du monde, avant de pratiquer l'accostage.
L'interview de Tunui Pureni, l'instructeur de la formation :
L'interview d'Edwine Vivish, l'un des élèves de la formation :