Mais comment font-ils pour s’adapter si vite aux nouveaux produits ? Tellement vite que les industriels ne parviennent plus à développer de solutions efficaces, même s'ils ont découvert le gènes qui les protègent.
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La revue Genome Research publiait la semaine dernière un article des chercheurs du CNRS et de ceux de l’Institut Pasteur de Guyane. Ils ont réussi à identifier de nouveaux marqueurs génétiques impliqués dans la résistance aux insecticides.
Car pour se protéger des insecticides, les moustiques peuvent sécréter des enzymes qui détruisent les produits chimiques. C'est la biodégradation. Un mécanisme déjà connu mais les chercheurs viennent tout juste de découvrir les gènes responsables.
En repérant ces gènes, les scientifiques vont pouvoir suivre plus facilement l'évolution de la résistance aux insecticides à travers le monde. Mais d'ici 10 à 15 ans, il faudra avoir trouvé des solutions alternatives aux insecticides.
A Paris, la correspondance d’Elisa Brinai :
Car pour se protéger des insecticides, les moustiques peuvent sécréter des enzymes qui détruisent les produits chimiques. C'est la biodégradation. Un mécanisme déjà connu mais les chercheurs viennent tout juste de découvrir les gènes responsables.
Un répit de 10 à 15 ans
En repérant ces gènes, les scientifiques vont pouvoir suivre plus facilement l'évolution de la résistance aux insecticides à travers le monde. Mais d'ici 10 à 15 ans, il faudra avoir trouvé des solutions alternatives aux insecticides.
A Paris, la correspondance d’Elisa Brinai :
Les moustiques toujours plus résistants aux insecticides