Les plaintes des victimes sont diverses : entre celui qui partage ses goûts musicaux avec le quartier, le motard qui bricole son pot d'échappement ou les aboiements intempestifs des chiens, les nuisances sonores deviennent pour certaines personnes intolérables, au point qu’elles nuisent à leur santé. Certaines sombrent même en dépression profonde à cause des comportements inciviques de leurs voisins.
Brigitte Olivier /t Patita Savea
Brigitte Olivier /t Patita Savea
Lorsque « victime du bruit » rime avec « déprime »…