Malgré la crise, certains croient en leur entreprise

Alors que cette période de crise est peu propice aux investissements, certains osent franchir le pas avec un coup de pouce de la DGAE. Portraits de deux entrepreneurs qui ont pu se lancer ou se relancer avec les aides du pays.


 
Pas facile de se lancer dans l’aventure de la création d’entreprise. Et quand tous les voyants économiques sont au rouge cela demande même un sacré courage. Pourtant ils sont plusieurs à tenter le grand saut.
 

Une aide pour acheter des meubles


Hereani et son compagnon, par exemple, ont gardé la tête froide. Ils ont décidé d’ouvrir leur salle de jeux en réseau quelques semaines avant le confinement. Un projet de longue date qu’il n’était pas question pour eux de reporter.
Pour cela ils ont bénéficié d’une aide de la DGAE de près d’1.2 million de francs. Une subvention qui leur a permis d’acheter tous les meubles dont ils avaient besoin pour installer leurs ordinateurs.
13 postes de gaming grand confort pour leurs clients et les 13 chaises qui vont avec.

Le fait d’avoir une aide qui nous permet d’avoir tout ce qui est meubles et aménagements c’est vraiment un plus

Hereani Faua - Gérante de "rézo gaming"

Le velo c'est l'avenir


Joël Raymond, lui est réparateur de vélo depuis 15 ans et rêve de développer son enseigne. La DGAE lui a également apporté un soutien financier à hauteur d’1.2 million. Il a pu faire des travaux de rénovation pris en charge à hauteur de 50% du prix hors-taxes et acheter du mobilier professionnel adapté à son activité.

J’ai commandé des meubles métalliques qui sont vraiment plus professionnel c’est plus pratique pour moi

Joël Raymond - Gérant de "la Klinic du vélo"

Le fils de Joël est en formation pour apprendre les évolutions du métier. Il compte lui laisser son entreprise plus tard. Une société prospère.

Regardez ce reportage de Nicolas Suire et Sandro Ly :