Ce samedi 8 décembre, une cinquantaine de personnes ont marché à l'occasion de la journée de sensibilisation au problème de réchauffement climatique.
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La marche est partie à 9h du stade Willy Bambrige à Tipaerui jusqu'au parc Bougainville au centre-ville. Cette action, organisée par les associations de protection de l’environnement, s'est déroulée en marge des marches organisées partout dans le monde. Des manifestations qui sont associées à la réunion de la COP 24 qui a débuté le 3 décembre en Pologne et se terminera le 14 décembre.
Une cinquantaine de personnes ont participé à cette marche au fenua pour dénoncer les problèmes liés au réchauffement climatique. Les associations polynésiennes pour la protection de l’environnement sont sensibles à ce sujet. Mais pas seulement, car la pollution est aussi un danger si personne ne fais rien. "Je ramasse les déchets par terre (...) Je me déplace en vélo tous les jours", confie l'un des participants à la manifestation qui, au quotidien, tente de faire des gestes pour prendre soin de son fenua.
Ce mouvement est une action citoyenne, comme l'explique Laiza Pautehea, organisatrice de la marche. "Le problème du climat est vraiment grave (...) on ne pourra pas revenir en arrière. On doit aller vers une transition énergique environnementale", souligne Laiza Pautehea.
Une cinquantaine de personnes ont participé à cette marche au fenua pour dénoncer les problèmes liés au réchauffement climatique. Les associations polynésiennes pour la protection de l’environnement sont sensibles à ce sujet. Mais pas seulement, car la pollution est aussi un danger si personne ne fais rien. "Je ramasse les déchets par terre (...) Je me déplace en vélo tous les jours", confie l'un des participants à la manifestation qui, au quotidien, tente de faire des gestes pour prendre soin de son fenua.
Reportage
Ce mouvement est une action citoyenne, comme l'explique Laiza Pautehea, organisatrice de la marche. "Le problème du climat est vraiment grave (...) on ne pourra pas revenir en arrière. On doit aller vers une transition énergique environnementale", souligne Laiza Pautehea.
Interview