La compétition QS 1000 est en waiting period à Papara jusqu'au 13 mars. Kauli Vaast, Mihimana Braye, O'Neill Massin ou encore Matahi Drollet seront de la partie. Mais pas seulement... Michel Bourez, qui évolue sur le CT, sera aussi là pour leur donner du fil à retordre. Nous l'avons interviewé
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64 surfeurs sont attendus sur le beach break de Papara cette semaine. La compétition Open hommes n'a pas encore été lancée. 27 Tahitiens, 37 Hawaiiens et plusieurs grands noms du surf dont... Michel Bourez. Le tenant du titre, Taumata Puhetini, ne figure pas parmi les participants, mais on y retrouvera Hira Teriinatoofa, Kauli Vaast, Matahi Drollet, O'Neill Massin, Tereva David et bien d'autres !
Avant que la compétition, Michel Bourez a bien voulu répondre à nos questions sur sa présence à cette compétition, qui n'est pas au programme du CT dans lequel il évolue depuis des années.
Pourquoi as-tu décidé de participer à cette compétition ?
C'était juste une envie de faire cette compétition avant le début du CT. En plus, il y a du niveau. Il y a les jeunes Tahitiens qui sont présents comme Mihimana Braye, Kauli Vaast, O'Neill Massin... Du coup pour moi, c'est un bon entraînement pour le CT. C'est un moment pour me préparer avant la première étape.
Qui redoutes-tu le plus ?
Tout le monde mais en particulier les Tahitiens. Tous les locaux de Papara seront difficiles à battre. En plus, on annonce des bonnes petites conditions. Ca va être fun à regarder et ça va être bien de se mettre dans le bain tout de suite.
N'as-tu pas peur de faire un peu de l'ombre aux jeunes Tahitiens ?
Non.. Le plus important est que tout le monde se surpasse. Au contraire, pour eux, ils sont contents car ça leur donne un objectif : ils ont tous envie de me battre. J'ai reçu pleins de messages de beaucoup d'amis qui sont excités de me voir dans la compétition et qui vont tout faire pour gagner la compétition. Pour moi, c'est un bon challenge, de devoir surfer contre les plus jeunes. Mon objectif premier est d'aller le plus loin possible et en finale.
Après la Papara, tu rejoins l'Australie pour la première étape du CT, comment abordes-tu cette nouvelle saison ?
Je l'aborde bien. Ca fait deux mois que je m'entraîne physiquement. Ce dernier mois était plus intensif. Physiquement, je me sens prêt, j'ai perdu trois kilos. Mentalement, je le suis aussi.
As-tu des objectifs pour cette nouvelle saison ?
Ce sont toujours les mêmes : réussir sur le World Tour, d'aller le plus loin possible. Le plus dur est d'y rester et pas forcément de se qualifier. Maintenant il faut tout donner à chaque série. Et puis, il y a les JO qui arrivent même si on a un souci avec le coronavirus donc on ne sait pas trop si ça va se faire ou pas. Quoqu'il en soit, l'objectif premier reste le tour.
Qui redoutes-tu le plus ?
Michel Bourez : "Tout le monde mais en particulier les Tahitiens".
Avant que la compétition, Michel Bourez a bien voulu répondre à nos questions sur sa présence à cette compétition, qui n'est pas au programme du CT dans lequel il évolue depuis des années.
Pourquoi as-tu décidé de participer à cette compétition ?
C'était juste une envie de faire cette compétition avant le début du CT. En plus, il y a du niveau. Il y a les jeunes Tahitiens qui sont présents comme Mihimana Braye, Kauli Vaast, O'Neill Massin... Du coup pour moi, c'est un bon entraînement pour le CT. C'est un moment pour me préparer avant la première étape.
Qui redoutes-tu le plus ?
Tout le monde mais en particulier les Tahitiens. Tous les locaux de Papara seront difficiles à battre. En plus, on annonce des bonnes petites conditions. Ca va être fun à regarder et ça va être bien de se mettre dans le bain tout de suite.
N'as-tu pas peur de faire un peu de l'ombre aux jeunes Tahitiens ?
Non.. Le plus important est que tout le monde se surpasse. Au contraire, pour eux, ils sont contents car ça leur donne un objectif : ils ont tous envie de me battre. J'ai reçu pleins de messages de beaucoup d'amis qui sont excités de me voir dans la compétition et qui vont tout faire pour gagner la compétition. Pour moi, c'est un bon challenge, de devoir surfer contre les plus jeunes. Mon objectif premier est d'aller le plus loin possible et en finale.
Après la Papara, tu rejoins l'Australie pour la première étape du CT, comment abordes-tu cette nouvelle saison ?
Je l'aborde bien. Ca fait deux mois que je m'entraîne physiquement. Ce dernier mois était plus intensif. Physiquement, je me sens prêt, j'ai perdu trois kilos. Mentalement, je le suis aussi.
As-tu des objectifs pour cette nouvelle saison ?
Ce sont toujours les mêmes : réussir sur le World Tour, d'aller le plus loin possible. Le plus dur est d'y rester et pas forcément de se qualifier. Maintenant il faut tout donner à chaque série. Et puis, il y a les JO qui arrivent même si on a un souci avec le coronavirus donc on ne sait pas trop si ça va se faire ou pas. Quoqu'il en soit, l'objectif premier reste le tour.