Le procès s'ouvre le 27 août. 10 personnes comparaissent pour prostitution de mineurs et trafic d'ice. Ce dossier porte le nom de Sabine Boiron, institutrice de profession, soupçonnée d’avoir organisé des parties fines entre mineures et hommes d’affaires de Tahiti, en échange d'argent ou de drogue.
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Le procès s'ouvre mardi 27 août et va durer deux jours.
Tout a débuté quand une mineure est arrêtée, en compagnie d’un trafiquant de drogue notoire, Adelino Dias Nogueira, incarcéré depuis dans la "Mexican Connection". Les enquêteurs découvrent qu’elle se livre à la prostitution en échange d’ice, à l'hôtel Royal Tahitien, dans des chambres louées par Gerardo Lozano, frère de Mercedes Dubaquier, condamnée dans une autre affaire de trafic d'ice..
Une enquête préliminaire est alors ouverte par le parquet pour proxénétisme sur mineure et trafic de stupéfiants.
Cette enquête permet de remonter à Sabine Boiron, décrite par certains dans ce dossier, comme « la mère maquerelle ». Cette ancienne institutrice était la maîtresse de l'homme d'affaires Thierry Barbion.
L’enquête a démontré que des soirées libertines étaient organisées dans des bureaux appartenant à l’homme d’affaires, chez lui, ou encore à l'étage de la boîte de nuit le Ute Ute, appartenant à Marc Ramel.
Sabine Boiron aurait présenté aux deux hommes, des jeunes filles, certaines mineures.
Même après avoir appris leur minorité, ils auraient continué à avoir des relations sexuelles avec ces adolescentes, des relations parfois tarifées, ce que Thierry Barbion conteste.
L’enquête a aussi révélé que pendant ces soirées à partenaires multiples, entre deux sushis, l’alcool et la drogue circulaient, facilitant le passage à l’acte.
Tout a débuté quand une mineure est arrêtée, en compagnie d’un trafiquant de drogue notoire, Adelino Dias Nogueira, incarcéré depuis dans la "Mexican Connection". Les enquêteurs découvrent qu’elle se livre à la prostitution en échange d’ice, à l'hôtel Royal Tahitien, dans des chambres louées par Gerardo Lozano, frère de Mercedes Dubaquier, condamnée dans une autre affaire de trafic d'ice..
Une enquête préliminaire est alors ouverte par le parquet pour proxénétisme sur mineure et trafic de stupéfiants.
Cette enquête permet de remonter à Sabine Boiron, décrite par certains dans ce dossier, comme « la mère maquerelle ». Cette ancienne institutrice était la maîtresse de l'homme d'affaires Thierry Barbion.
L’enquête a démontré que des soirées libertines étaient organisées dans des bureaux appartenant à l’homme d’affaires, chez lui, ou encore à l'étage de la boîte de nuit le Ute Ute, appartenant à Marc Ramel.
Sabine Boiron aurait présenté aux deux hommes, des jeunes filles, certaines mineures.
Même après avoir appris leur minorité, ils auraient continué à avoir des relations sexuelles avec ces adolescentes, des relations parfois tarifées, ce que Thierry Barbion conteste.
L’enquête a aussi révélé que pendant ces soirées à partenaires multiples, entre deux sushis, l’alcool et la drogue circulaient, facilitant le passage à l’acte.
Affaire Boiron, dix personnes jugées pour prostitution de mineurs