Les 11 membres élus par le Congrès de la Nouvelle-Calédonie n'ont pas réussi à s'entendre sur le futur Président du gouvernement. Ils ont 5 jours pour s'entendre. Selon Rock Wamytan, les indépendantistes pourraient trancher en faveur d'un candidat loyaliste pour éviter la paralysie institutionnelle.
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Rien n’a changé ou presque. Un nouveau gouvernement a été élu hier, identique au précédent. Avec six membres loyalistes et cinq membres indépendantistes. Au sein de ce 14 e gouvernement, on retrouve donc les trois membres, Calédonie ensemble, Philippe Germain, André Jean Léopold, Thierry Cornaille. Ils gouverneront toujours aux côtés de Cynthia Ligeard et de Bernard Deladrières pour le Front pour l’unité, de Sonia Backès, de l’Union pour la Calédonie dans la France et, de Gilbert Tyuiénon, Jean Louis d’Anglebermes et d’Anthony Lecren de l’UC FLNKS et nationalistes et enfin des membres Uni, Déwé Gorodey et Valentine Eurisouké.
Mais ce nouveau gouvernement ne peut pas être installé car aucun président n’a été élu. Six membres se sont abstenus lors des deux tours de vote, les membres indépendantistes, et l’UCF Sonia Backès. Une situation pas toute à faite inédite, rappelle Cynthia Ligeard, la présidente du 13e gouvernement.
C’est désormais aux élus de s’accorder sur qui ils porteront à la tête du pays. C’est dans ces conditions que l’Etat convoquera alors les élus pour procéder à une nouvelle élection du président (du gouvernement). Restés extérieurs aux rivalités des loyalistes, les élus indépendantistes pourraient cette fois décider d’arbitrer.
Mais ce nouveau gouvernement ne peut pas être installé car aucun président n’a été élu. Six membres se sont abstenus lors des deux tours de vote, les membres indépendantistes, et l’UCF Sonia Backès. Une situation pas toute à faite inédite, rappelle Cynthia Ligeard, la présidente du 13e gouvernement.
C’est désormais aux élus de s’accorder sur qui ils porteront à la tête du pays. C’est dans ces conditions que l’Etat convoquera alors les élus pour procéder à une nouvelle élection du président (du gouvernement). Restés extérieurs aux rivalités des loyalistes, les élus indépendantistes pourraient cette fois décider d’arbitrer.