Mercredi 1er novembre les tombes se couvriront de fleurs à l’occasion de la Toussaint. Cette année toutefois, certaines espèces victimes de maladies sont plus rares.
La fête de la Toussaint voit les catholiques du monde entier honorer tous les saints. Le jour étant férié, la Toussaint se confond avec l’hommage rendu aux proches décédés ; un tradition autrefois célébrée le 2 novembre, jour des défunts.
A cette occasion, les tombes sont nettoyées ou repeintes et couvertes de sable immaculé. Elles sont illuminées de nuit à la bougie dans différents pays dont la Polynésie. C‘est la tradition du tiamaraa. Afin de rendre hommage aux personnes disparues, les tombes sont également très largement fleuries. Cette année, certaines espèces sont moins présentes qu’à l’accoutumée. Depuis deux ans une maladie ravage les opuhi beaucoup plus rares sur les étals des horticulteurs.
A cette occasion, les tombes sont nettoyées ou repeintes et couvertes de sable immaculé. Elles sont illuminées de nuit à la bougie dans différents pays dont la Polynésie. C‘est la tradition du tiamaraa. Afin de rendre hommage aux personnes disparues, les tombes sont également très largement fleuries. Cette année, certaines espèces sont moins présentes qu’à l’accoutumée. Depuis deux ans une maladie ravage les opuhi beaucoup plus rares sur les étals des horticulteurs.
Pénurie d’opuhi pour la Toussaint
A Raiatea aussi, la pénurie se fait sentir
Comme chaque année lors de la Toussaint, les habitants viennent acheter des fleurs au marché d'Uturoa (Raiatea) pour honorer les leurs. Mais ce 1er novembre 2017, la sélection d'espèces de fleurs est moins variée que habitude. Comme Tahiti, les opuhi ont été victime du virus.
Les producteurs qui travaillent toute l'année pour ce rendez-vous, n'ont pas réussi à produire assez de fleurs, allant même jusqu'à en commander de Tahiti afin de compenser la baisse de la production locale.