Les "petits perliculteurs" mécontents

Ça bouge dans le monde de la perle : un groupe de perliculteurs interpelle le gouvernement pour le rétablissement du contrôle obligatoire de la perle de Tahiti à l'export
Le syndicat des petits et moyens perliculteurs de Polynésie française dénonce également la pollution des lagons, néfaste au développement des naissains de nacres.

On écoute Mia Williams, présidente du syndicat des PME perliculture au micro de HeipuaVan Bastolaer

Interview de Mia Williams


Le syndicat des petits et moyens perliculteurs de Polynésie française pointe notamment du doigt la nouvelle catégorie, la "catégorie E", mise en place dans le cadre de la réforme du secteur perlicole, depuis donc la mise en application de la loi de juillet 2017.

Selon le SPMPF, cette réforme pourrait nuire à l’image de la marque « perle de Tahiti »

Pourtant, cette loi du pays devait aider à atteindre une production organisée et de qualité, grâce notamment, à la mise en place de quotas de production et de mesures destinées à assurer la traçabilité des volumes de perles, de leur production jusqu'à leur exportation.
 
les « petits perliculteurs » mécontents