De nombreux Polynésiens prennent l’avion durant les vacances, souvent pour des vols de plus de 20h. Ils sont donc plus susceptibles de souffrir un jour de la phlébite ou l’embolie pulmonaire.
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Si l’avion ne provoque pas les phlébites ni les embolies pulmonaires, il reste un déclencheur. L’embolie est provoquée par un caillot de sang qui va migrer et va venir boucher une artère du poumon. Il existe 3 facteurs de risques : l’immobilisme, une anomalie de la coagulation ou encore une inflammation, soit parce que l’on est mal assis dans l’avion ou soit parce qu’on est malade ou on l’a été. C’est le cas par exemple de l'humoriste Anthony Kavanagh victime d'une embolie pulmonaire il y a quelques jours en Nouvelle-Calédonie, et qui a dû reporter son spectacle à Tahiti.
Néanmoins 50% des cas d’embolies pulmonaires sont liés à un cancer, y compris chez les jeunes. Mais on peut également être porteur d’une pathologie sans le savoir. Mais alors comment éviter l'embolie pulmonaire au cours de voyages en avion ? Il est conseillé de marcher toutes les 2 ou 3 heures dans l’avion et faire quelques exercices et de surtout bien s’hydrater. En revanche, certains spécialistes déconseillent des injections avant de prendre l'avion car cela peut provoquer des hémorragies.
Reportage en Nouvelle-Calédonie :
Néanmoins 50% des cas d’embolies pulmonaires sont liés à un cancer, y compris chez les jeunes. Mais on peut également être porteur d’une pathologie sans le savoir. Mais alors comment éviter l'embolie pulmonaire au cours de voyages en avion ? Il est conseillé de marcher toutes les 2 ou 3 heures dans l’avion et faire quelques exercices et de surtout bien s’hydrater. En revanche, certains spécialistes déconseillent des injections avant de prendre l'avion car cela peut provoquer des hémorragies.
Reportage en Nouvelle-Calédonie :