Toujours plus haut, toujours plus dur et toujours plus vite… 3 jours de compétition d’une intensité rare. L’objectif est clair : pousser les athlètes à sortir de leur zone de confort. "Il y a beaucoup de mouvements que les athlètes ont l'habitude de retrouver en entraînement, et on a intégré des choses qu'ils n'ont pas l'habitude de faire comme un trail très tôt le 1er jour, un WOD avec du tir au air soft", explique Arnaud Kressmann, organisateur des Polynesian Battle Games.
Parmi les nouveautés, le A Jump. Un squat suivi d’un saut. Sûrement l’exercice le plus éprouvant depuis le début de ce challenge. Heiva Ah-Min et Mika Vidal finissent en tête de cette épreuve.
n fait, la victoire dépendra beaucoup de l’état de fraîcheur des compétiteurs. A chacun donc, sa technique pour récupérer au plus vite. "On va tous se faire un bain de glace pour être au maximum de sa forme pour ce soir", remarque Hivanui Uraina du Team Local Beast.
Pour que cette compétition soit une réussite, l’organisateur a fait appel à 70 bénévoles : des chargeurs, des chronométreurs, des scoreurs et des juges. Sans eux, rien ne serait possible. "Si on sait compter jusqu'à 400, ça devrait bien se passer, mais le plus difficile dans le juging, c'est d'être attentif sur les petits mouvements qui vont passer ou pas, par exemple si le squat est complètement fait, si on descend bien, si on remonte bien", estime Kevin Perrin, juge.
13 catégories devraient être récompensées ce dimanche soir. La Polynesian Battle Games 2024 promet d’être grandiose. Avec d’autres épreuves surprises et peut-être, la participation d’athlètes étrangers.