La présidence de la Polynésie fait part de la réponse du CIO suite à la demande d’affiliation de la Polynésie à ce dernier. C’est NON. Seuls les états indépendants peuvent avoir un comité national olympique. Cette demande avait été faite à l’époque par Tauhiti Nena.
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Communiqué de la présidence de la polynésie française:
Le président de la Polynésie française, Edouard Fritch, a sollicité, en juillet dernier, directement auprès du CIO (Comité international olympique), des explications précises sur les conditions d’inscriptions au CIO et sur l’éligibilité de la Polynésie française aux financements de la Solidarité Olympique (SO).
Ce courrier fait suite aux divergences de point de vue de l’administration du Pays et du président déchu du COPF, Tauhiti Nena. En effet, depuis son élection à la tête du Comité (10 ans), l’ancien président du COPF a défendu, auprès des médias et du mouvement sportif, la possibilité pour la Polynésie française de s’affilier directement au CIO afin de participer aux Jeux Olympiques avec le drapeau tahitien et ainsi bénéficier directement des crédits du CIO en tant que CNO (Comité national olympique).
La réponse du Comité international olympique vient confirmer que « le CIO n’est donc pas en mesure de reconnaître un CNO pour le territoire de la Polynésie française » et qu’à cet effet, le COPF ne peut aucunement bénéficier directement des crédits de la SO car « seuls les CNO reconnus par le CIO peuvent solliciter les programmes de la Solidarité Olympique et en bénéficier directement ».
Ainsi, comme le propose le Pays au mouvement sportif, le CIO préconise que « par conséquent, dans l’intérêt du développement du sport et des athlètes sur le territoire de la Polynésie française, nous ne pouvons qu’encourager les organisations et instances sportives compétentes de la Polynésie française à se rapprocher du CNOSF ».
Seule la réponse aux règles 28-5 et 30-1 de la charte olympique permettrait à la Polynésie française d’être éligible à une affiliation directe au CIO, tel que le souhaite Monsieur Nena. Autrement dit, il faudrait que Tahiti soit un « État indépendant reconnu par la communauté internationale ». Malgré une parfaite connaissance de la situation, ce positionnement politique et indépendantiste défendu par Monsieur Nena a entraîné la confusion au sein du mouvement sportif, ces dix dernières années, le menant dans une voie dont la seule issue est l’indépendance. Le mouvement sportif est désormais acteur de son destin et doit se prononcer ce samedi 2 décembre lors de son assemblée générale élective.
Le président de la Polynésie française, Edouard Fritch, a sollicité, en juillet dernier, directement auprès du CIO (Comité international olympique), des explications précises sur les conditions d’inscriptions au CIO et sur l’éligibilité de la Polynésie française aux financements de la Solidarité Olympique (SO).
Ce courrier fait suite aux divergences de point de vue de l’administration du Pays et du président déchu du COPF, Tauhiti Nena. En effet, depuis son élection à la tête du Comité (10 ans), l’ancien président du COPF a défendu, auprès des médias et du mouvement sportif, la possibilité pour la Polynésie française de s’affilier directement au CIO afin de participer aux Jeux Olympiques avec le drapeau tahitien et ainsi bénéficier directement des crédits du CIO en tant que CNO (Comité national olympique).
La réponse du Comité international olympique vient confirmer que « le CIO n’est donc pas en mesure de reconnaître un CNO pour le territoire de la Polynésie française » et qu’à cet effet, le COPF ne peut aucunement bénéficier directement des crédits de la SO car « seuls les CNO reconnus par le CIO peuvent solliciter les programmes de la Solidarité Olympique et en bénéficier directement ».
Ainsi, comme le propose le Pays au mouvement sportif, le CIO préconise que « par conséquent, dans l’intérêt du développement du sport et des athlètes sur le territoire de la Polynésie française, nous ne pouvons qu’encourager les organisations et instances sportives compétentes de la Polynésie française à se rapprocher du CNOSF ».
Seule la réponse aux règles 28-5 et 30-1 de la charte olympique permettrait à la Polynésie française d’être éligible à une affiliation directe au CIO, tel que le souhaite Monsieur Nena. Autrement dit, il faudrait que Tahiti soit un « État indépendant reconnu par la communauté internationale ». Malgré une parfaite connaissance de la situation, ce positionnement politique et indépendantiste défendu par Monsieur Nena a entraîné la confusion au sein du mouvement sportif, ces dix dernières années, le menant dans une voie dont la seule issue est l’indépendance. Le mouvement sportif est désormais acteur de son destin et doit se prononcer ce samedi 2 décembre lors de son assemblée générale élective.