Après quatre jours de recherches, le JRCC annonce l’arrêt définitif du quadrillage de la zone par les moyens déployés par l’armée. Les 23 zones de recherches couvertes représentent une superficie de 70 000 km² et 55 heures de vols.
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C’est une famille confiante que nous avons rencontrée dimanche 13 novembre au matin à Mataiea. Pendant que la mère se rendait au temple, le père de Laurent et Meherio Para est entouré de ses deux filles ainées. Robert Para culpabilise, s’il n’avait pas suivi la course de la Hawaiki Nui Vaa, rien de tout cela ne serait arrivé.
Mardi 1er novembre alors qu’il est à Huahine, sa fille Meherio accompagnée de sa meilleure amie, Hinarere Taputu font la surprise d’arriver. Ils suivent la course jusqu’à Bora-Bora et retournent samedi 5 novembre sur Huahine. Le lendemain dimanche, Robert et Meherio sortent de la baie de Maroe à 6h du matin.
Le trajet de 2h30 entre Huahine et Maiao est bien connu de ce navigateur, il a souvent couvert la distance de 100 km sans instrument de navigation . cette fois ci, dimanche 6 novembre 2016, après six heures de navigation, il n’y a toujours aucune terre en vue....
Une erreur commise par Robert Para à cause de la boussole explique-t-il. Un instrument de navigation qu’il utilise pour la première fois après son acquisition il y a quatre ans.
Plutôt que de prendre le risque de se perdre davantage, Robert et Meherio Para décident de rebrousser chemin et mettent le cap sur Huahine, ule retour ne se fera pas sans difficulté. Une fois Huahine atteint, ils auront passé 12h au total à bord du poti marara presque à cours d’essence.
Le lendemain lundi, Meherio appelle sa sœur à tahiti, elle s’inquiète de l’état de santé de son père et demande que son frère Laurent prenne l’avion pour ramener le bateau à Tahiti.
Robert Para prend l’avion et rentre à Tahiti pendant que son fils accompagné de sa sœur quittent Huahine le mardi 8 novembre aux alentours de 8h.
Le poti marara aurait dû arriver à destination mardi aux alentour de 11h. L’alerte a été donnée au JRCC mardi soir à 20h soit 8h après l’arrivée supposée de l’embarcation.
Un temps précieux qui aurait pu permettre de trouver le bateau rapidement s’il était équipe d’une balise de détresse.
Mardi 1er novembre alors qu’il est à Huahine, sa fille Meherio accompagnée de sa meilleure amie, Hinarere Taputu font la surprise d’arriver. Ils suivent la course jusqu’à Bora-Bora et retournent samedi 5 novembre sur Huahine. Le lendemain dimanche, Robert et Meherio sortent de la baie de Maroe à 6h du matin.
Les occupants du poti marara se perdent une première fois
Le trajet de 2h30 entre Huahine et Maiao est bien connu de ce navigateur, il a souvent couvert la distance de 100 km sans instrument de navigation . cette fois ci, dimanche 6 novembre 2016, après six heures de navigation, il n’y a toujours aucune terre en vue....
Une erreur commise par Robert Para à cause de la boussole explique-t-il. Un instrument de navigation qu’il utilise pour la première fois après son acquisition il y a quatre ans.
Plutôt que de prendre le risque de se perdre davantage, Robert et Meherio Para décident de rebrousser chemin et mettent le cap sur Huahine, ule retour ne se fera pas sans difficulté. Une fois Huahine atteint, ils auront passé 12h au total à bord du poti marara presque à cours d’essence.
Le lendemain lundi, Meherio appelle sa sœur à tahiti, elle s’inquiète de l’état de santé de son père et demande que son frère Laurent prenne l’avion pour ramener le bateau à Tahiti.
Robert Para prend l’avion et rentre à Tahiti pendant que son fils accompagné de sa sœur quittent Huahine le mardi 8 novembre aux alentours de 8h.
L’embarcation de Robert Para perd le cap une seconde fois
Le plein de l’embarcation est fait, de la nourriture est achetée dont un pack d’eau et deux sacs de glace car Laurent, avant de rentrer à Tahiti, décide de faire un arrêt à Mai’ao pour pêcher avec son oncle. Meherio Para avait pour consigne d’appeler sa sœur une fois arrivée à Maia’o, elle ne le fera jamais.Le poti marara aurait dû arriver à destination mardi aux alentour de 11h. L’alerte a été donnée au JRCC mardi soir à 20h soit 8h après l’arrivée supposée de l’embarcation.
Le poti marara de Robert Para s'est perdu à deux reprises
Un temps précieux qui aurait pu permettre de trouver le bateau rapidement s’il était équipe d’une balise de détresse.