Retour sur cette grosse affaire de vols en bande organisée et de recel. Au total, 17 personnes ont été interpellées. Une opération d’envergure qui a été menée mardi 26 janvier.
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C’est un véritable coup de filet de la police et de la gendarmerie. 17 interpellations simultanées mardi 26 janvier, dans une enquête pour vol en bande organisée et recel. Le cerveau présumé de ce trafic : le propriétaire d’un rachat d’or et d’un show room de meubles, situés au cœur de Papeete. Les enquêteurs le soupçonnent d’avoir commandité une quarantaine de cambriolages, d’avoir fondu les bijoux en or pour les revendre ensuite aux Etats-Unis.
Actuellement en garde-à-vue, l’homme âgé d’une soixantaine d’années, plaiderait la bonne foi. Il affirmerait ignorer que les bijoux rachetés aient été volés. En 2015, nous l’avions interviewé. Il reconnaissait un problème de traçabilité. En effet, les rachats d’or ne font l’objet d’aucune réglementation particulière : seule une pièce d’identité est demandée, aucune facture.
En mars 2016, les gendarmes saisissent déjà une grande quantité de bijoux au bureau du suspect principal. En novembre 2016, ils invitent leurs propriétaires à se manifester. Au terme d’un an d’enquête, la gendarmerie est donc passée aux interpellations. Les suspects peuvent rester en garde à vue jusqu’à 4 jours maximum.
Retour en images sur cette affaire
Retrouvez le reportage dans nos journaux télévisés de ce jeudi 26 janvier sur Polynésie 1ère
Actuellement en garde-à-vue, l’homme âgé d’une soixantaine d’années, plaiderait la bonne foi. Il affirmerait ignorer que les bijoux rachetés aient été volés. En 2015, nous l’avions interviewé. Il reconnaissait un problème de traçabilité. En effet, les rachats d’or ne font l’objet d’aucune réglementation particulière : seule une pièce d’identité est demandée, aucune facture.
En mars 2016, les gendarmes saisissent déjà une grande quantité de bijoux au bureau du suspect principal. En novembre 2016, ils invitent leurs propriétaires à se manifester. Au terme d’un an d’enquête, la gendarmerie est donc passée aux interpellations. Les suspects peuvent rester en garde à vue jusqu’à 4 jours maximum.
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