Vendredi 12 janvier, le CESC rendra son avis sur la réforme de la PSG. L’Intersyndicale a appelé à la mobilisation mais la CSIP a annoncé qu’elle se désolidarisait de cet appel. Pour les représentants de la CSIP, le Pays se trompe de cible comme l'explique Vaitea Legayic.
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Vendredi 12 janvier, le CESC rendra son avis sur la réforme de la Protection Sociale Généralisée. Le volet consacré aux retraites fait particulièrement grincer des dents, notamment du côté des syndicats. L’Intersyndicale a appelé à la mobilisation, mais la CSIP a annoncé, mercredi 10 janvier, à travers un communiqué, qu’elle se désolidarisait de cet appel.
La confédération indique qu’elle se prononcera sur un mouvement général après la rencontre avec le gouvernement, prévue mardi prochain.
Pour les représentants de la CSIP, le Pays se trompe de cible car, selon eux, ce n’est pas aux retraites qu’il faut toucher mais à la caisse maladies. "La retraite n'est pas une priorité (...) Le problème vient de l'assurance maladie", explique Vaitea Legayic, de la Confédération des Syndicats indépendants de la Polynésie et qui est également rapporteur du projet de réforme au CESC.
La confédération indique qu’elle se prononcera sur un mouvement général après la rencontre avec le gouvernement, prévue mardi prochain.
Pour les représentants de la CSIP, le Pays se trompe de cible car, selon eux, ce n’est pas aux retraites qu’il faut toucher mais à la caisse maladies. "La retraite n'est pas une priorité (...) Le problème vient de l'assurance maladie", explique Vaitea Legayic, de la Confédération des Syndicats indépendants de la Polynésie et qui est également rapporteur du projet de réforme au CESC.
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