Pour le meneur du mouvement qui a faiblement mobilisé ce samedi « les images de métropole sont manipulées, donc il ne faut pas croire tout ce qui est sur les réseaux sociaux ».
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Côté revendications, « nous en avions beaucoup, mais elles n’ont pas été portées. Nous sommes venus chacun avec nos doléances, les augmentations, notamment sur le sucre programmées par exemple. D’un autre côté, des tonnes des pesticides sont déversées sur les terres, donc il y a des critiques à faire remonter ». Des slogans bien éloignés de la chasse aux élites et du prix du carburant villipendés en métropole.
Sam Amaru, porte parole des « gilets jaunes » en Polynésie
Sam Amaru, porte parole des « gilets jaunes » en Polynésie