Aujourd'hui est la journée mondiale des soins palliatifs. C'est une journée d'action qui promeut et soutient ces soins dans le monde entier. A l'hôpital de Taaone, ces soins, destinés aux personnes atteintes de maladies graves, existent, mais ils sont souvent méconnus des patients.
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A l'occasion de cette journée dédiée aux soins palliatifs, l'équipe mobile de soins palliatifs et d'accompagnement de l'hôpital de Taaone s'est mise à disposition du public.
Cette cellule est composée d'un médecin, d'un infirmier, d'un psychologue et d'une secrétaire. Ces professionnels de santé travaillent en collaboration avec des bénévoles. Viennent se rajouter à l'équipe une hypnotiseuse, une aromathérapeute, un kinésithérapeute et une masseuse-magnétiseuse.
L'occasion de préciser que les soins palliatifs ne se limitent pas à la fin de vie. On peut aussi en bénéficier en cas de diagnostic d'une maladie grave. D'autres équipes accompagnent également les enfants malades et leurs familles. En Polynésie, elle existe depuis 2015, mais elle reste encore très méconnue du grand public.
Selon Mathilde Girous, médecin-chef et responsable des soins palliatifs à l'hôpital de Taaone, "beaucoup pensent que lorsque l'on parle de soins palliatifs, c'est la fin de vie".
Depuis 2016 l'espérance de vie ne figure plus parmi les critères de classification. Le but est d'offrir aux malades et à leurs proches une meilleure qualité de vie.
Une loi de 1999 garantit à tous les patients hospitalisés ces soins, mais par manque de moyens, ils ne sont pratiqués que depuis 2015 en Polynésie.
Cette cellule est composée d'un médecin, d'un infirmier, d'un psychologue et d'une secrétaire. Ces professionnels de santé travaillent en collaboration avec des bénévoles. Viennent se rajouter à l'équipe une hypnotiseuse, une aromathérapeute, un kinésithérapeute et une masseuse-magnétiseuse.
L'occasion de préciser que les soins palliatifs ne se limitent pas à la fin de vie. On peut aussi en bénéficier en cas de diagnostic d'une maladie grave. D'autres équipes accompagnent également les enfants malades et leurs familles. En Polynésie, elle existe depuis 2015, mais elle reste encore très méconnue du grand public.
Selon Mathilde Girous, médecin-chef et responsable des soins palliatifs à l'hôpital de Taaone, "beaucoup pensent que lorsque l'on parle de soins palliatifs, c'est la fin de vie".
"C'est un manque d'information"
Depuis 2016 l'espérance de vie ne figure plus parmi les critères de classification. Le but est d'offrir aux malades et à leurs proches une meilleure qualité de vie.
Une loi de 1999 garantit à tous les patients hospitalisés ces soins, mais par manque de moyens, ils ne sont pratiqués que depuis 2015 en Polynésie.
Soins palliatifs, une journée pour comprendre