Un homme de 38 ans vient d'être condamné à un an de prison ferme et 10 ans d’interdiction de séjour sur le sol polynésien pour avoir harcelé son ex pendant 9 mois : menaces de mort, dizaines de messages vocaux, textos et violences en tous genres.
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Sophie ne se sentait plus en sécurité et pour cause...Elle a vécu 4 ans avec Carles en Suisse. Un jour, il devient violent et elle décide de le quitter. Pour lui échapper, elle met deux océans entre eux.
Sauf que l’amoureux éconduit ne l’entend pas de cette oreille...A peine installée à Tahiti, elle voit arriver son ancien compagnon.
Il trouve où elle travaille, où elle habite et son numéro de téléphone.
Il se rend sur son lieu de travail et passe son temps à l’observer. Il pénètre chez elle pour y déposer une fleur, vient la voir à son domicile pour lui parler, elle refuse. Elle dépose plainte pour la première fois en juillet 2018. Mais cela ne suffira pas...
Sophie a trouvé un nouvel ami, Carles les suit…
Un jour, alors qu’il est sur son scooter, il endommage la voiture dans laquelle se trouve le couple. Les deux hommes se battent.
Impuissante face à ce harcèlement, la jeune femme quitte Tahiti pour Raiatea.
Mais, muni d’une photo, Carlès la retrouve et continue de la harceler.
Les plaintes de la jeune femme n’y changent rien, il arrive même à persuader les gendarmes qu’elle lui dit "non" mais qu’en réalité, elle veut poursuivre leur relation.
Devant les enquêteurs, Carles nie tout harcèlement : s’il est en Polynésie, c’est parce qu’il voulait découvrir l’archipel, il dit que c’est elle qui le manipule et qu’il n’est pas obsédé par son ex-compagne.
Après des menaces de mort, des dizaines et des dizaines de messages vocaux, des textos, il devient violent, lui prend son sac, son téléphone, et la frappe en lui assenant des claques.
La dernière plainte sera la bonne.
Carles a quitté la Polynésie, c’est en tout cas ce qu’a affirmé son avocate, Me Hina Lavoix. Une version mise en doute par le ministère public. Le procureur a estimé que l'homme voulait "pourrir la vie" de son ex compagne.
Son avocate a quant à elle indiqué qu’il souhaitait simplement avoir une discussion avec son ancienne compagne, ce qu’il n’a jamais eu.
Le tribunal l’a condamné à un an de prison ferme et 10 ans d’interdiction de séjour sur le sol polynésien.
Sauf que l’amoureux éconduit ne l’entend pas de cette oreille...A peine installée à Tahiti, elle voit arriver son ancien compagnon.
Il trouve où elle travaille, où elle habite et son numéro de téléphone.
Il se rend sur son lieu de travail et passe son temps à l’observer. Il pénètre chez elle pour y déposer une fleur, vient la voir à son domicile pour lui parler, elle refuse. Elle dépose plainte pour la première fois en juillet 2018. Mais cela ne suffira pas...
Sophie a trouvé un nouvel ami, Carles les suit…
Un jour, alors qu’il est sur son scooter, il endommage la voiture dans laquelle se trouve le couple. Les deux hommes se battent.
Impuissante face à ce harcèlement, la jeune femme quitte Tahiti pour Raiatea.
Mais, muni d’une photo, Carlès la retrouve et continue de la harceler.
Les plaintes de la jeune femme n’y changent rien, il arrive même à persuader les gendarmes qu’elle lui dit "non" mais qu’en réalité, elle veut poursuivre leur relation.
Devant les enquêteurs, Carles nie tout harcèlement : s’il est en Polynésie, c’est parce qu’il voulait découvrir l’archipel, il dit que c’est elle qui le manipule et qu’il n’est pas obsédé par son ex-compagne.
Après des menaces de mort, des dizaines et des dizaines de messages vocaux, des textos, il devient violent, lui prend son sac, son téléphone, et la frappe en lui assenant des claques.
La dernière plainte sera la bonne.
Carles a quitté la Polynésie, c’est en tout cas ce qu’a affirmé son avocate, Me Hina Lavoix. Une version mise en doute par le ministère public. Le procureur a estimé que l'homme voulait "pourrir la vie" de son ex compagne.
Son avocate a quant à elle indiqué qu’il souhaitait simplement avoir une discussion avec son ancienne compagne, ce qu’il n’a jamais eu.
Le tribunal l’a condamné à un an de prison ferme et 10 ans d’interdiction de séjour sur le sol polynésien.