L’entreprise Boyer revient dans la course au Swac du Taaone. Ce poids lourd du BTP a attaqué le Pays après avoir été écartée des candidatures. Ce jeudi matin, la justice ordonne au Pays de réintégrer la candidature de Boyer.
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Le juge a donné raison à Boyer. L’entreprise du BTP avait été écartée de l’appel d’offres du Swac de l’hôpital, un projet phare du gouvernement. Raison invoquée par le Pays : un dossier de candidature incomplet. Il manque trois documents relatifs au sous-traitant.
L’avocat parisien de Boyer, Me Nicolas Ferré, a demandé la réintégration de son client dans la procédure d’appel d’offres, ou bien l’annulation complète de la procédure. Pour lui, ces documents manquants ne sont pas nécessaires.
La justice a penché ce jeudi en faveur de Boyer. Le juge demande au Pays de « reprendre la procédure au stade de l’analyse des offres, après avoir réintégré la candidature de la S.A.S Boyer ». La Polynésie française est aussi appelée à verser à l’entreprise la somme de 500 000 Fcfp.
L’avocat parisien de Boyer, Me Nicolas Ferré, a demandé la réintégration de son client dans la procédure d’appel d’offres, ou bien l’annulation complète de la procédure. Pour lui, ces documents manquants ne sont pas nécessaires.
La justice a penché ce jeudi en faveur de Boyer. Le juge demande au Pays de « reprendre la procédure au stade de l’analyse des offres, après avoir réintégré la candidature de la S.A.S Boyer ». La Polynésie française est aussi appelée à verser à l’entreprise la somme de 500 000 Fcfp.