A la veille de la journée mondiale dédiée aux droits des femmes, plein phare sur l'une d'entre elle : Sylvie Chung. La jeune femme, d'origine tahitienne, est scaphandrière, un métier généralement masculin. Portrait.
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Se dépasser, casser les codes et vivre ses passions... Ce sont les mots d'ordre de la Tahitienne. Elle vient de valider son diplôme dans un métier d'ordinaire réservé aux hommes. A 40 ans, elle est une des rares femmes scaphandrières, spécialiste des travaux sous-marins. La quadra travaille en Bretagne, où elle suit une formation pour trois semaines d'immersion.
Celle qui fut biologiste cultive un certain goût de l'aventure. "Il faut aller au bout de ses passions (...) Dans l'eau, je suis à l'aise, je voulais savoir jusqu'où je pouvais aller", confie Sylvie. "Elle est très motivée, ce qui fait toute sa force", explique de son côté Didier Bazin, gérant de la société ISMER
Celle qui fut biologiste cultive un certain goût de l'aventure. "Il faut aller au bout de ses passions (...) Dans l'eau, je suis à l'aise, je voulais savoir jusqu'où je pouvais aller", confie Sylvie. "Elle est très motivée, ce qui fait toute sa force", explique de son côté Didier Bazin, gérant de la société ISMER