Samedi 18 novembre, les malades atteints de la BPCO, leur famille, et le personnel santé ont organisé une marche dans la vallée de la Fataua à Titioro, afin de sensibiliser la population. Une occasion aussi de se retrouver dans la nature et de faire un peu d'effort physique.
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Il s'agit de la quatrième maladie la plus mortelle au monde. Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, l'OMS, en 2030, elle tuera 20% de personnes de plus. La BPCO, la broncho-pneumopathie chronique obstructive, sévit aussi au fenua.
La BPCO toucherait de 10 à 15% de la population mais les chiffres peuvent être bien plus élevés car beaucoup ne savent pas qu'ils sont atteints par cette maladie.
Samedi 18 novembre, les malades, leurs familles et le personnel de santé ont organisé une promenade dans la vallée de la Fataua à Titioro. Un moment important estime le pneumologue Pablo Ferrer.
Cette marche est aussi l'occasion pour les malades, souvent isolés, de se retrouver. Jean-Pierre, atteint de la BPCO, est à l'origine de l'évènement qui existe désormais depuis sept ans. L'idée était justement de "regrouper les patients".
Cette manifestation est également un moyen pour certains malades de réapprendre l'effort physique malgré les difficultés respiratoires. Ainsi que de prendre plaisir à sortir et se balader dans un cadre naturel. Loma y participe pour la 3e fois, elle est ravie d'être là. Son seul regret : ne pas avoir écouté sa maman et avoir commencé à fumer.
La BPCO toucherait de 10 à 15% de la population mais les chiffres peuvent être bien plus élevés car beaucoup ne savent pas qu'ils sont atteints par cette maladie.
Samedi 18 novembre, les malades, leurs familles et le personnel de santé ont organisé une promenade dans la vallée de la Fataua à Titioro. Un moment important estime le pneumologue Pablo Ferrer.
Cette marche est aussi l'occasion pour les malades, souvent isolés, de se retrouver. Jean-Pierre, atteint de la BPCO, est à l'origine de l'évènement qui existe désormais depuis sept ans. L'idée était justement de "regrouper les patients".
Cette manifestation est également un moyen pour certains malades de réapprendre l'effort physique malgré les difficultés respiratoires. Ainsi que de prendre plaisir à sortir et se balader dans un cadre naturel. Loma y participe pour la 3e fois, elle est ravie d'être là. Son seul regret : ne pas avoir écouté sa maman et avoir commencé à fumer.