Tahiti Mahana Beach : le group 70 international présente ses investisseurs

Tahiti Mahana Beach, version hawaienne
Lundi 30 mars, le cabinet d'architecte hawaiien qui a remporté le concours pour la réalisation du pharaonique Tahiti Mahana Beach, a révélé quelques-uns des investisseurs, internationaux et locaux.
Le group 70 international est plus que jamais candidat à la construction du Tahiti Mahana Beach, dont la date d'ouverture est prévue pour 2021. Sur le site Business Wire, la société hawaïenne vient de lever le voile sur une partie des investisseurs qui seraient prêts à mettre, au total, plus de 300 milliards de fcp sur la table.

Des investisseurs étrangers et locaux


Dans son communiqué, le Group 70 annonce avoir soumis, lundi 30 mars, au gouvernement polynésien la liste d' "investisseurs de classe internationale" qu'il aurait réunis. Ces derniers viendraient des États-Unis, de Tahiti, de Chine, de France et du Mexique, et seraient tous prêt à financer "ce projet innovant qui promet d'être l'un des plus grands resorts du Pacifique."

Parmi les entreprises qui seraient sur les rangs, on trouve : le géant français du BTP, Vinci, Cofely Polynésie Aquatika, et un spécialiste mexicain des parcs aquatiques. Et, au niveau local :  les 3 brasseurs, la Polynésienne des eaux, Gaz de Tahiti et l’entreprise MT2 . "L'intention de Group 70 est de promouvoir l'investissement local au maximum, tout en faisant équipe avec les meilleurs experts internationaux en termes de financement," a déclaré Francis Oda, le président de Group 70. 

Aider la Polynésie à "réaliser son rêve de construire une économie durable"


"Tous les membres de ce puissant groupe d'investisseurs sont pleinement engagés à la réussite de ce projet et nous nous réjouissons de travailler avec les intervenants locaux pour offrir au monde une destination touristique unique qui valorise les traditions et la culture polynésienne", conclut le communiqué de Group 70, qui précise également être en discussion avec des investisseurs supplémentaires, locaux comme internationaux. "Nous avons franchi un important pas de plus pour aider la Polynésie française à réaliser son rêve de construire une économie vraiment durable", a déclaré Francis Oda..