Jeudi 9 mars, à la cour d'appel, un médecin néphrologue comparaissait pour importation et consommation de stupéfiants. L’avocat général a requis 8 mois de prison avec sursis à son encontre et une interdiction d’exercer durant un an.
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Selon nos confrères de TNTV, le médecin de 47 ans se faisait livrer au CHPF de l'ice, de l'ecstasy, et du paka. Il a été jugé jeudi 9 mars par la cour d'appel de Papeete.
Les faits remontent à décembre 2014. Les douaniers interceptent un colis express en provenance de Belgique au nom du docteur et adressé au CHPF de Taaone. Ils trouvent à l'intérieur une boite de chocolat ainsi que cinq sachets contenant plus de trois grammes d’ice. Ce n'est pas tout. Lors d'une perquisition au domicile du praticien, les douaniers découvrent de l’ecstasy, un peu d’ice et du paka.
Son avocat a plaidé la relaxe et a demandé que sa peine ne figure pas sur son casier judiciaire s’il était condamné. En effet, une telle mention pourrait signifier la fin de sa carrière. L’Ordre des médecins pourrait d'ailleurs lui interdire de pratiquer, voire même le radier.
Le représentant du parquet général a requis la même condamnation qu’en première instance soit 8 mois de prison avec sursis, une amende douanière de 881 000 fcp et une autre de 500 000 fcp. Il a également demandé au tribunal d’interdire au taote d’exercer pour une durée d’une année. La cour d’appel rendra sa décision le 20 avril prochain.
Les faits remontent à décembre 2014. Les douaniers interceptent un colis express en provenance de Belgique au nom du docteur et adressé au CHPF de Taaone. Ils trouvent à l'intérieur une boite de chocolat ainsi que cinq sachets contenant plus de trois grammes d’ice. Ce n'est pas tout. Lors d'une perquisition au domicile du praticien, les douaniers découvrent de l’ecstasy, un peu d’ice et du paka.
Interdit d'exercer ?
Son avocat a plaidé la relaxe et a demandé que sa peine ne figure pas sur son casier judiciaire s’il était condamné. En effet, une telle mention pourrait signifier la fin de sa carrière. L’Ordre des médecins pourrait d'ailleurs lui interdire de pratiquer, voire même le radier.
Le représentant du parquet général a requis la même condamnation qu’en première instance soit 8 mois de prison avec sursis, une amende douanière de 881 000 fcp et une autre de 500 000 fcp. Il a également demandé au tribunal d’interdire au taote d’exercer pour une durée d’une année. La cour d’appel rendra sa décision le 20 avril prochain.