La campagne se joue aussi sur les réseaux sociaux. Et tous les coups sont permis, y compris les « fake news ». Ces fausses informations sont souvent propagées par des militants pour influencer le vote. Comment faire la part du vrai du faux ?
•
Ça a l’aspect d’une information, le goût d’une information, mais ce n’est pas une information. L’intox, la fake news, se répand sur la toile. Et avec les réseaux sociaux, elle se répand à la vitesse d’un clic. Construite par des militants pour influencer le vote des lecteurs avec plus ou moins de finesse…
Alors, non, Gaston Flosse n’appelle pas à voter Tapura, ni Moetai Brotherson, via un faux compte Facebook.
Ou encore le Tavini dément fermement avoir reçu des consignes de Paris. Les internautes doivent apprendre à démêler le vrai du faux.
Enfin, non, la campagne du Tapura ne peut coûter plus de 3 milliards de Fcfp aux contribuables, puisqu’elle est plafonnée à 30 millions de Fcfp par le Code électoral, pour un remboursement de 14,4 millions de F par l’Etat.
Alors, non, Gaston Flosse n’appelle pas à voter Tapura, ni Moetai Brotherson, via un faux compte Facebook.
Ou encore le Tavini dément fermement avoir reçu des consignes de Paris. Les internautes doivent apprendre à démêler le vrai du faux.
Enfin, non, la campagne du Tapura ne peut coûter plus de 3 milliards de Fcfp aux contribuables, puisqu’elle est plafonnée à 30 millions de Fcfp par le Code électoral, pour un remboursement de 14,4 millions de F par l’Etat.