Le départ a été donné ce matin à 8h pour la course relais de 16 km "Cours pour elles". Cette dernière a été organisée dans le cadre de la journée mondiale de lutte contre la violence faite aux femmes.
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Pour sa 4ème édition, la course de relais "Cours pour elles" s'est déroulée cette année à Mahina. Organisée par l'association Utuafare Mataeinaa dans le cadre de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, cette course relais a eu lieu mardi au départ de la Pointe de Vénus.
La course de presque 16 kilomètres a longé la plage en direction de Papeete jusqu'au début de la montée du Taharaa, avant de se poursuivre jusqu'à Orofara pour se terminer au phare de la Pointe Vénus. Plusieurs centaines de coureurs femmes et hommes y ont participé. Lors des trois précédentes éditions, plus de 1200 coureurs avaient pris part à cette course destinée à sensibiliser à la lutte contre la violence faite aux femmes.
Selon une étude du conseil économique, social et environnemental, les violences conjugales seraient plus nombreuses en Outremer qu’en métropole. Mais il reste néanmoins difficile d’établir un constat, faute de moyens. En effet dans certains pays d'Outremer comme en Polynésie française, il n’y a pas de délégué aux droits des femmes.
Pascale Vion, rapporteur de cette étude sur les violences faites aux femmes dans les outre-mers, interviewée par Laura Philippon
La course de presque 16 kilomètres a longé la plage en direction de Papeete jusqu'au début de la montée du Taharaa, avant de se poursuivre jusqu'à Orofara pour se terminer au phare de la Pointe Vénus. Plusieurs centaines de coureurs femmes et hommes y ont participé. Lors des trois précédentes éditions, plus de 1200 coureurs avaient pris part à cette course destinée à sensibiliser à la lutte contre la violence faite aux femmes.
Les victimes de violence conjugale plus nombreuses en Outremer
Selon une étude du conseil économique, social et environnemental, les violences conjugales seraient plus nombreuses en Outremer qu’en métropole. Mais il reste néanmoins difficile d’établir un constat, faute de moyens. En effet dans certains pays d'Outremer comme en Polynésie française, il n’y a pas de délégué aux droits des femmes.
Pascale Vion, rapporteur de cette étude sur les violences faites aux femmes dans les outre-mers, interviewée par Laura Philippon
PASCALE VION VIOLENCES OM