Dans sa décision d'aujourd'hui, vendredi 29 septembre, le tribunal administratif a rejeté la demande de l'employé de l'université jugé coupable de faits liés au trafic de drogue.
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Cet employé de l'université de la Polynésie française avait été jugé coupable pour des faits liés au trafic d'ice alors même qu'il exerçait son métier d'adjoint technique de recherche et de formation à l'université de Polynésie française.
En novembre 2016 suite à une décision conseil de discipline, il a été révoqué de ce poste, puis condamné à une peine d'un an d'emprisonnement dont six mois avec sursis par le tribunal correctionnel.
Un mois plus tard, dans un recourt devant le tribunal administratif, l'employé mis à la porte accusait la décision de révocation du conseil de discipline d'être entachée d'une erreur de droit. Il estimait également que les faits commis ne justifiaient pas une mesure de révocation.
Des arguments qui n'ont pas convaincu le juge administratif puisqu'il rejette sa demande dans sa décision d'aujourd'hui. La décision de révocation du conseil disciplinaire est donc toujours valable. Il ne retrouvera pas son emploi à l'université.
En novembre 2016 suite à une décision conseil de discipline, il a été révoqué de ce poste, puis condamné à une peine d'un an d'emprisonnement dont six mois avec sursis par le tribunal correctionnel.
Un mois plus tard, dans un recourt devant le tribunal administratif, l'employé mis à la porte accusait la décision de révocation du conseil de discipline d'être entachée d'une erreur de droit. Il estimait également que les faits commis ne justifiaient pas une mesure de révocation.
Des arguments qui n'ont pas convaincu le juge administratif puisqu'il rejette sa demande dans sa décision d'aujourd'hui. La décision de révocation du conseil disciplinaire est donc toujours valable. Il ne retrouvera pas son emploi à l'université.