La Polynésie vient de signer un accord de coopération avec ses voisins du Pacifique pour un accès internet à très haut débit fiable et abordable pour les populations. Il s’agit d’un second câble qui va sécuriser le premier : Honotua.
Le Président, Edouard Fritch, le ministre des Affaires étrangères néo-zélandais Murray McCully, le Premier ministre des îles Cook, Henry Puna, le Premier ministre de Niue, Toke Talagi, et le représentant de Tokelau, ont signé aujourd’hui, à Auckland, en Nouvelle-Zélande, un accord de coopération relatif à un projet international de connectivité du Pacifique.
La signature s’est déroulée en présence également du gouvernement des Samoa et de la Banque asiatique de développement, avec une vision commune d’un accès internet à très haut débit fiable et abordable pour les populations du Pacifique, et notamment du triangle polynésien, y compris dans les îles les plus isolées. La mise en place de tels équipements va permettre le développement d’outils importants pour l’éducation, la médecine et constitue un socle désormais indispensable pour la vie économique et sociale de ces archipels.
Dans la lignée de ce qui a été mis en œuvre avec succès, sur la thématique de l’environnement, avec le groupe des dirigeants polynésiens (PLG, Polynesian leaders group), concrétisé par la signature d’un accord à la COP 21 à la fin de l’année dernière à Paris, le Président s’est félicité de cette nouvelle étape qui permet de réunir de nouveau les états et territoires du triangle polynésien autour d’un projet commun, structurant et utile aux populations de nos îles.
Un tel projet va permettre, pour la Polynésie française, de mener à bien la mission de sécurisation du câble Honotua reliant Tahiti à Hawaii, tout en faisant bénéficier nos voisins du Pacifique de l’expertise reconnue de l’OPT (Office des Postes et Télécommunications) dans ce domaine, a souligné le Président Fritch.
L’accord signé prévoit que d’ici la fin juillet 2016 les représentants des différentes entités en rapport avec ce projet, rassemblés dans un groupe de travail, présenteront aux gouvernements concernés des solutions pour un câble sous-marin dans la région Pacifique, avec recours aux satellites, pour les îles les plus isolées qui ne pourraient pas être desservies par câble sous-marin. En revanche, aucun coût pour la Polynésie n'est pour le moment annoncé.
Source: communiqué de la Présidence
La signature s’est déroulée en présence également du gouvernement des Samoa et de la Banque asiatique de développement, avec une vision commune d’un accès internet à très haut débit fiable et abordable pour les populations du Pacifique, et notamment du triangle polynésien, y compris dans les îles les plus isolées. La mise en place de tels équipements va permettre le développement d’outils importants pour l’éducation, la médecine et constitue un socle désormais indispensable pour la vie économique et sociale de ces archipels.
Dans la lignée de ce qui a été mis en œuvre avec succès, sur la thématique de l’environnement, avec le groupe des dirigeants polynésiens (PLG, Polynesian leaders group), concrétisé par la signature d’un accord à la COP 21 à la fin de l’année dernière à Paris, le Président s’est félicité de cette nouvelle étape qui permet de réunir de nouveau les états et territoires du triangle polynésien autour d’un projet commun, structurant et utile aux populations de nos îles.
Un tel projet va permettre, pour la Polynésie française, de mener à bien la mission de sécurisation du câble Honotua reliant Tahiti à Hawaii, tout en faisant bénéficier nos voisins du Pacifique de l’expertise reconnue de l’OPT (Office des Postes et Télécommunications) dans ce domaine, a souligné le Président Fritch.
L’accord signé prévoit que d’ici la fin juillet 2016 les représentants des différentes entités en rapport avec ce projet, rassemblés dans un groupe de travail, présenteront aux gouvernements concernés des solutions pour un câble sous-marin dans la région Pacifique, avec recours aux satellites, pour les îles les plus isolées qui ne pourraient pas être desservies par câble sous-marin. En revanche, aucun coût pour la Polynésie n'est pour le moment annoncé.
Source: communiqué de la Présidence