Lors de la séance budgétaire à Tarahoi, les indépendantistes ont posé la question de la sécurité liée à l'arrivée de la compagnie French Blue : le flux de passagers pourrait inclure des personnes dangereuses. La ministre du tourisme s’est dite choquée par de tels arguments.
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Jeudi 9 novembre, lors des questions orales posées au gouvernement au cours de la séance budgétaire à Tarahoi, l’UPLD a mis en garde le gouvernement quant à l’arrivée des visiteurs transportés par la compagnie low-cost French Blue. Les premiers touristes transportés par French Blue sont attendus en mai 2018.
Pour le président du groupe UPLD à l’Assemblée de Polynésie française, Anthony Géros, avec deux rotations hebdomadaires Papeete- Paris via San Francisco en 2018, le flux de passagers pourrait aussi transporter des personnes dangereuses pour la sécurité du fenua.
La ministre du tourisme a défendu la position du gouvernement qui souhaite accueillir la compagnie French Blue, proposant 66 000 sièges, à destination du fenua. Cela représenterait, selon Nicole Bouteau, 10% de visiteurs supplémentaires en 2018. La ministre du tourisme s’est également dite choquée par les arguments avancés par les indépendantistes.
Pour le président du groupe UPLD à l’Assemblée de Polynésie française, Anthony Géros, avec deux rotations hebdomadaires Papeete- Paris via San Francisco en 2018, le flux de passagers pourrait aussi transporter des personnes dangereuses pour la sécurité du fenua.
Anthony Géros : "Ici, on n'a pas les armes pour se protéger des nouveaux entrants"
La ministre du tourisme a défendu la position du gouvernement qui souhaite accueillir la compagnie French Blue, proposant 66 000 sièges, à destination du fenua. Cela représenterait, selon Nicole Bouteau, 10% de visiteurs supplémentaires en 2018. La ministre du tourisme s’est également dite choquée par les arguments avancés par les indépendantistes.
Nicoles Bouteau choquée par les arguments de l'UPLD
La réponse de Nicole Bouteau à Anthony Géros