Ce samedi 6 août s'est déroulée la vente aux enchères des thoniers, du matériel de bureau et des véhicules de la société Tahiti Nui Rava'ai ayant fait faillite. Curieux ou acheteurs, ils étaient nombreux à assister à cette vente qui a eu lieu à Fare Ute.
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Quatre des huit thoniers mis aux enchères ont été vendus à des professionnels de la pêche. D'origine chinoise, les bateaux ont été vendus à 1 million fcp, le prix plancher demandé par le tribunal. Il n'y a eu aucune surenchère, et seulement deux acheteurs.
L'homme d'affaire Daniel Siu en a acheté trois : le Meherio 8, le Meherio 12 et la Rava’ai nui 2, un bateau que sa société avait déjà exploité.
Le Hawaiki 3 a été acheté par Franky vong de la société Tahiti Nui pêche, ce sera le second bateau de sa flotte
Pour rappel la société Tahiti Nui Rava’ai a été mise en liquidation en octobre 2014. Les bateaux sont donc au quai de Fare Ute depuis cette année là. Parmi les huit bateaux, sept ont été fabriqués en Chine et un en Corée. Ils ont coûté 150 millions fcp chacun. Quant aux bateaux invendus, le tribunal décidera de leur avenir. Il s’agit du Meherio 14, du Tauraatua 5 , du Faimanu 3 et du Tauraatua 4.
Le commissaire priseur, Serge Léontieff, s'est dit quelque peu déçu de ne pas avoir vendu tous les bateaux. Selon lui, la conjoncture est à l'origine de ces invendus.
L'homme d'affaire Daniel Siu en a acheté trois : le Meherio 8, le Meherio 12 et la Rava’ai nui 2, un bateau que sa société avait déjà exploité.
Le Hawaiki 3 a été acheté par Franky vong de la société Tahiti Nui pêche, ce sera le second bateau de sa flotte
Pour rappel la société Tahiti Nui Rava’ai a été mise en liquidation en octobre 2014. Les bateaux sont donc au quai de Fare Ute depuis cette année là. Parmi les huit bateaux, sept ont été fabriqués en Chine et un en Corée. Ils ont coûté 150 millions fcp chacun. Quant aux bateaux invendus, le tribunal décidera de leur avenir. Il s’agit du Meherio 14, du Tauraatua 5 , du Faimanu 3 et du Tauraatua 4.
Le commissaire priseur, Serge Léontieff, s'est dit quelque peu déçu de ne pas avoir vendu tous les bateaux. Selon lui, la conjoncture est à l'origine de ces invendus.
Tahiti Nui Ravaài : enchères et nostalgie